Peugeot 3008 : enfin joli - Vidéo en direct du Mondial de Paris 2016
Pierre Desjardins , mis à jour
A sa première apparition publique au Salon de Genève 2009, on ne peut pas dire que l'extérieur de Peugeot 3008 ait fait l'unanimité, contrairement à son intérieur. Sept ans plus tard, la seconde génération se présente pour la première fois au Mondial de l'Auto et le vilain petit canard est devenu un très beau cygne.
Le profil tout en rondeurs a cédé la place une silhouette musclée avec des lignes agressives et des épaules musclées, et l'ensemble est particulièrement réussi et homogène, quel que soit l'angle sous lequel on le regarde.
Et Peugeot ne s'est pas reposé sur ses lauriers pour l'intérieur qui était déjà particulièrement réussi sur le premier 3008. On retrouve le même agencement qui fait très coupé sportif, avec cette partie centrale très large et orientée vers le conducteur, mais revue à la sauce 2016, avec l'arrivée du i-cockpit de la 208, du 2008 et de la 308 et du petit volant qui va avec, avec cependant une amélioration non négligeable, une instrumentation entièrement numérique de toute beauté et de série sur toutes les finitions.
Question mécanique, pas de surprise, cela démarre côté essence par le 3 cylindres 1,2 l purtech de 130 ch et cela va jusqu'au 1,6 l THP de 165 ch et côté diesel, par le 1,6 l BlueHDI 100 jusqu'au 2,0 l BlueHDI 180 ch. Reste les tarifs, qui enfle d'environ 2000 € à motorisation équivalente, avec des prix qui démarrent à 25 900 €.
L'instant Caradisiac : l'un des modèles d'exposition a déjà bien souffert
Alors que j'attendais mon tour pour prendre les photos du modèle que vous avez sous les yeux, le confrère qui me précédait a entrepris de fermer le capot ouvert précédemment appuyant fortement dessus, pensant qu'il était équipé de vérins. Mais non, ce 3008 de seconde génération est équipé d'une bête tige qui continue de subir les assauts de l'indélicat insistant, jusqu'à finir par céder en pliant à 90°, le cuistre s'éloignant alors discrètement, l'air de rien.
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