Ce week-end, je vais vous rabâcher l’éternel discours du « c’était mieux avant » concernant les autos sportives. C’était mieux avant quand les boîtes manuelles demandaient une force de bûcheron canadien pour être maniées à la perfection. C’était mieux avant quand les moteurs atmosphériques hurlaient à la mort à l’approche de la zone rouge. C’était mieux avant quand on transpirait après 30 minutes d’attaque. Quel est notre sujet d’étude ? L’éternelle, la parfaite Ferrari F355 Berlinetta.