l'expression semble tout droit sortie des années 70. Pourtant, si elle a été popularisée à cette période, elle est beaucoup plus ancienne et remonte à l'une des premières femmes titulaires d'un permis de conduire en France.
Ce soir, la Route de Nuit est très rock-n’-roll. Avec une approche contemporaine qui sied au monde de la Formule 1.
Entre 1956 et 2000, les automobilistes ont dû payer annuellement une taxe indexée sur la puissance fiscale de leur voiture : la fameuse vignette, que personne ne regrette.
La Route de Nuit nous mènera à Compiègne où se prépare une surprenante exposition consacrée à la vitesse. Vaste programme.
La nouvelle série de 5x20 minutes, diffusée sur Canal Plus depuis le 1er novembre, se dévore d'un trait. Et l'on est aussi fortement accro à cet OVNI que son héroïne est addict aux amphétamines. Ce VTC est conduit de main de maître par deux réalisateurs français, et l'époustouflante comédienne Golshifteh Farahani.
De nombreux passionnés pestent contre les aides à la conduite, mais n’est-il pas un tard pour s’élever contre un principe à l’œuvre depuis des années dans l’automobile ?
Cette semaine, nous évoquons un ouvrage hautement recommandable sur la saga du Boxster, qui a fêté ses 25 ans cette année.
Venue d'Italie, la tendance s'installe dans le sud de la France auprès des jeunes issus de milieux favorisés. Des jeunes qui se déplacent à bord de voitures sans permis rebaptisées "sanpés". La tendance est dopée par les bonnes ventes de la Citroën Ami et pour les parents, c'est un moyen de locomotion plus sûr que le scooter. Quant aux ados, c'est surtout un accès à la liberté de circuler confortable et à la mode. Mais la tendance coûte cher.
La Route de Nuit passe par le monde merveilleux du dadaïsme à travers la personnalité provocatrice et scandaleuse de Francis Picabia.
Créée en 1961 par Emile Véron, l’un des fondateurs de Norev, la firme Majorette a été numéro 1 de la production mondiale de voitures miniature, offrant ainsi rêve et amusement à des millions d’enfants pendant plus de trente ans. Oui, aujourd’hui, ça paraît fou…