Skoda Karoq 2018 - Les premières images de l'essai en live + Premières impressions
Pierre Desjardins , mis à jour
Déjà bien fourni, le rayon SUV du groupe Volkswagen commence à être sérieusement encombré puisque, rien que cette année et ne prenant en compte que ses constructeurs généralistes, on compte comme nouveautés le Seat Arona, les Volkswagen T-Roc et Tiguan Allspace et le Skoda Karoq. Et c'est de ce dernier, remplaçant du Yéti et développé sur la même base que le Seat Ateca, que nous allons prendre le volant pour un premier essai en Sicile.
À 4,38 m, le Karoq, présentée pour la première fois au Salon de Francfort le mois dernier, se classe parmi les plus petits de la catégorie des SUV compacts quand son frère Kodiaq, lui, fait partie des plus grands à 4,70 m. Pour son lancement, quatre motorisations sont proposées, toutes disponibles avec au choix boîte manuelle à six rapports ou double embrayage à sept rapports : le petit mais costaud 3 cylindres 1.0 TSI de 116 ch et le tout nouveau 1.5 TSI ACT de 150 ch côté essence, et côté diesel le 1.6 TDI de 116 ch et le 2.0 TDI SCR de 150 ch, ce dernier étant forcément associé à une transmission 4x4.
Le ticket d'entrée à 25 790 € peut paraître très élevé à première vue quand un Seat Ateca s'échange contre un minimum de 21 990 € ou qu'un Kodaq (!) démarre à 24 950 €, mais cela s'explique par le fait que le Karoq ne dispose pas, au moins pour l'instant, d'une finition d'entrée de gamme dépouillée.
Dispose-t-il d'atouts pour se distinguer dans l'offre extrêmement abondante dans la catégorie des SUV compacts ? C'est ce que nous devons déterminer aujourd'hui et demain lors de notre essai en Sicile, et nous vous invitons à le découvrir dans la vidéo live ci-dessous.
Les premières images de la Skoda Karoq en live
Vidéo tournée en direct le 16 octobre 2017.
Premières impressions
Étonnant, ce Karoq. Très silencieux et confortable, bien motorisé avec toujours ce remarquable trois pattes TSI et, meilleur choix encore, le 1.5 TSI, il conserve aussi les qualités habituelles que l'on est en droit d'attendre habituellement des Skoda : de la place à revendre et un excellent volume de coffre. Au final, on peut seulement lui reprocher un certain manque d'identité visuelle en faisant une sorte d'Ateca maquillé et l'absence de finition d'accès qui entraîne - normalement temporairement - un premier prix supérieur à celui d'un... Kodiaq.
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