Superbike: On y parle aussi de réduction des coûts
Il n'y a pas que dans le Moto GP que l'on cause de réduction des coûts. Le mondial Superbike, à son tour, a ouvert le débat sous l'égide de la FIM et les parties se sont réunies sur le sujet en Australie, profitant de l'ouverture de la saison à Phillip Island. L'organisateur Infront et les constructeurs ont donc réfléchi au problème, ce qui leur a permis de découvrir des soucis bien spécifiques au milieu.
Ainsi, si l'idée d'aménager le vendredi pour faire moins de tours sur l'ensemble du meeting, ou celle de limiter les tests entre les courses sont parties sur de bonnes bases, il n'en a pas été de même sur le consensus à obtenir sur le nombre réglementaire de motos à produire pour leur homologation ou encore les limitations de la fiche technique.
En effet, le mondial Superbike se joue à partir des motos venues de la série et ces paramètres se conjuguent avec des stratégies commerciales propres à chaque constructeur. Il ne sera donc pas facile de les accorder et à l'issue de cette première rencontre, la FIM a sagement botté en touche en refilant le mistigri aux sept constructeurs qui devront phosphorer pour apporter leurs solutions.
Une, cependant, ne semble souffrir d'aucune contestation: celle portant sur le maintien à un bon niveau technique des écuries privées. Une bonne nouvelle qui s'est encore vérifiée à l'issue de la qualification australienne, puisque c'est bien une Ducati Guandalini qui a le mieux tiré son épingle du jeu, devant les Xerox officielles.
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