L'INFO DU JOUR - Les deux constructeurs japonais pourraient bien convoler dans les prochains mois et constituer ainsi le troisième groupe mondial derrière Toyota et Volkswagen. Une fusion qui pose des questions, chez Renault notamment, toujours actionnaire de Nissan et, au-delà, à toute la planète automobile.
Si les marques américaines de Stellantis se retrouvent sans V8, c’est parce que Carlos Tavares a personnellement insisté pour supprimer ces moteurs. Et les dirigeants de ces marques considèrent que c’est l’une de ses erreurs stratégiques.
Alors que nombre de géants de l'automobile sont dans la tourmente, des marques plus modestes se portent comme un charme. Un pied de nez à la bonne vieille tendance économique qui veut que pour ne pas disparaître il faut se regrouper et grossir ?
L'INFO DU JOUR. Stellantis réintègre les rangs de l'ACEA, le lobby des constructeurs automobiles basé à Bruxelles. Le retour du deuxième constructeur européen donne plus de poids à l'organisme qui milite pour une position plus réaliste vis-à-vis de l'électrification.
L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - C'est le choc des derniers jours : Stellantis annonce le départ de son patron, Carlos Tavares. Une "démission" et des questions qui restent en suspens sur sa succession et l'avenir du groupe. En face, chez Renault, on se félicite des bons débuts de la R5 électrique, mais attention au risque du feu de paille.
L'INFO DU JOUR - Les supputations pour le remplacement de Carlos Tavares vont bon train et certains médias n'hésitent pas à livrer des noms, aussitôt démentis par Stellantis. En revanche, le petit groupe qui s'est formé autour de John Elkann pour gérer la galaxie est connu et, en son sein, un revenant : Richard Palmer.
Pressenti pour prendre la direction du groupe Stellantis en remplacement de Carlos Tavares après avoir contribué au redressement de Renault, Luca de Meo explique qu’il n’a « pas fini le travail ».
Deux jours après l'éviction du directeur général de Stellantis, les spéculations sur ses indemnités de départ vont bon train. Quel que soit le montant, la somme ne devrait pas être en deçà de 3,9 millions d'euros, et pourrait atteindre beaucoup plus.
Le départ du boss de la galaxie de 14 marques (voir 15 avec Leapmotor) est désormais acté. Mais quel sera le prochain épisode de la saga du 4e constructeur mondial ? Qui en sera le capitaine avec quelles ambitions, et quels éventuels renoncements ? Tentatives de réponses.
Viré de la direction du groupe Stellantis, Carlos Tavares va partir avec « des dizaines de millions d’euros » en indemnité de licenciement. L’ancien homme fort de l’industrie automobile va pouvoir profiter de son temps libre…