Le nombre de morts sur les routes françaises a progressé de 4,3 % en mars. 266 personnes ont perdu la vie. Mais la forte baisse de février permet de dresser un bilan positif du premier trimestre 2017.
Dans la communication, on ne recule devant rien et il faut savoir surfer sur ce qui attire l’attention pour profiter de la situation. Certes, mais il est des vagues qui peuvent faire des vagues. Par exemple cette affiche pleine de dynamisme d’une Gendarmerie Nationale qui prend le pli d’un opus cinématographique qui a fait sa réputation sur la vitesse et la casse sur route ouverte.
Le marché hexagonal est en forme. De janvier à mars, 541 065 voitures particulières neuves ont été immatriculées, soit une hausse en un an de 4,8 %. La fin du trimestre est l'occasion de tirer un premier bilan de l'année 2017 côté modèles. Qui a bien débuté l'année ? Qui au contraire s'est planté ? Réponses avec ce top 10 et ce flop 10 !
Dormir ou conduire, il faut aussi choisir sous peine de mourir. C’est un peu brutal mais ça réveille et c’est nécessaire lorsque l’on est au volant. Les autorités le savent et vous le disent même parfois : l’endormissement en conduisant reste l'une des toutes premières causes d'accidents mortels. D’ailleurs, c’est pour ça que les radars flashent, c’est pour nous arracher des bras de Morphée. Non ? Enfin, des ingénieurs ont pensé qu’entre assouplissant et assoupissement, il pouvait y avoir une connexion.
En voilà un sujet dont on pourra parler à satiété dans les chaumières. Entre l’homme et la femme, qui est le plus efficace pour vendre ? Précisons la question en la plaçant dans un univers du négoce automobile, historiquement et traditionnellement porté à favoriser les chromosomes X et Y au détriment du seul X. Sauf qu’à notre époque de la théorie du genre, les certitudes se sont floutées. Plus concrètement, il apparaît que la femme, dans ce secteur d’activité, soit à présent plus persuasive que l’homme.
Même si un malus à 10 000,00 € n'est pas forcément un problème pour un acheteur d'une Lamborghini à 300 000 €, il reste symptomatique d'une tendance qui veut que la France soit une terre qui chasse le luxe. Et cela s'en ressent dans les ventes puisque le segment du luxe français est cinq fois inférieur à celui de l'Allemagne, et même plus petit que l'italien...
L’aéroport Roissy Charles de Gaulle n’est franchement pas ce qui se fait de mieux en matière d’accueil et de bonne humeur de ses personnels. Sans parler des rabatteurs vous poussant avec une telle dextérité vers des taxis que l’on croirait mis en œuvre un plan d’évacuation d'urgence. Bref, la zone ne respire pas la sérénité, mais on y travaille à CDG. "Paris Aéroport" se lance dans des expérimentations sous le label "Hub innovation", qui est destiné à changer son image et en faire l'aéroport le plus innovateur du monde. Une des vedettes de l’ambition est Stan le robot. Qui gare votre voiture tout seul.
Cette statistique remonte à 2015, mais elle est d’une brûlante actualité. Un sénior qui traverse une rue ou une chaussée est en danger. Si près d'un piéton sur deux morts sur les routes en 2015 était âgé de plus de 65 ans, en 2016, parmi les victimes à pied, 49 % étaient âgées de plus de 65 ans et plus d'une sur trois de plus de 75 ans, alors que cette dernière tranche d'âge ne représente que 9 % de la population. Par ailleurs, 87 % des piétons de plus de 75 ans tués sur les routes le sont en ville, la plupart du temps en traversant la rue. De quoi légitimer une campagne de sensibilisation.
C’est le miracle parisien, comme un tour de magie, issu tout de même d’un tour de force politique. Mais à la veille d’une inauguration d’un « Parc des Rives de Seine », qui qualifiera ce que l’on identifiait avant comme les berges de Seine, l’annonce est très opportune. Voilà que l’on nous ressert le bien-fondé d’une piétonnisation des voies de la capitale, à l’aune d’un résultat distillé par ses instigateurs : la mairie de Paris.
C’est ce que l’on pourrait appeler une révolution de palais qui s’est déroulée au sein du capital du groupe automobile français PSA. Ce dernier, mal en point en 2014, avait demandé de l’aide à l’État et ouvert ses portes au constructeur chinois Dongfeng pour continuer à subsister. Une époque aussi marquée par l’installation de Carlos Tavares aux commandes. Nous sommes en 2017 et le lion a retrouvé de sa superbe. L’État récupère donc ses billes. Mais ne quitte pas la partie pour autant.