Au pays des amendes et des prunes pour les automobilistes il était normal qu’un ébéniste trouve son bonheur dans la construction d’une voiture. Un tour de force réalisé par un certain Michel Robillard qui a réalisé une 2 CV qui envoie du bois. Car l’œuvre ne veut pas seulement s’exposer. Elle veut véritablement rouler et prendre racine dans la circulation quotidienne. Une nouvelle branche ?
Opel y a échappé en début de semaine pendant que Renault était visé dès la semaine passée. Cette fois, c’est Fiat qui va connaître la procédure judiciaire en France. Les conséquences, une fois encore, d’un « dieselgate » commencé par Volkswagen. Et poursuivi par d’autres. Par qui ? C’est justement ce que cherchera à savoir cette information judiciaire ouverte par le parquet de Paris.
Cela peut paraître lointain et nébuleux comme sujet, mais il devient vite une brûlante préoccupation lorsque l’accrochage arrive et qu’il faut réparer. Une procédure où les assurances s’engagent et au cours de laquelle les experts entrent en action. Ces derniers n’ont pas d’amis même si, souvent, à la lecture de leur verdict, on se demande parfois s’ils n’ont certains intérêts. Mais ne leur jetons pas la pierre. Un arrêté de la Cours de cassation leur a reconnu un rôle économique. Ce qui n‘est du tout du goût des réparateurs.
Apparemment, il n’y a pas de fatalité. Ce n’est pas parce que l’on est un constructeur de voitures dont la gamme est composée d’une motorisation diesel que l’on est forcément en infraction avec les normes antipollution. C’est du moins ce qui ressort des conclusions d’une Répression des fraudes française qui devient le cauchemar des marques automobiles. Sauf pour Opel. À qui rien n’est à reprocher.
C’est une mesure qui mérite d’être éclaircie car imaginer qu’elle soit applicable en l’état relève du miroir aux alouettes. En vigueur depuis le 1er janvier l’interdiction annoncée des vitres surteintées se caractérise surtout par son opacité. Les forces de l’ordre œuvrent portant puisqu’on annonce 12 000 verbalisations. Mais il y a aussi beaucoup de classements sans suite.
C’est un rapport sénatorial qui fait mal et qui pose question alors que, par ailleurs, certains péages augmentent et que, de plus en plus, notre quotidien routier est rythmé par des restrictions de circulation et des limitations de vitesse temporaires. La cause ? La dégradation régulière de nos infrastructures routières. C'est la compétitivité de notre pays et la sécurité des usagers qui est en jeu. Les Nationales et les Départementales se délabrent, mais aussi les autoroutes payantes.
Cette semaine il faudra avoir une pensée particulière pour tous les professionnels impliqués dans services de l’automobile et de la mobilité. Un secteur qui a décidé de se mettre en valeur du 11 au 18 mars pour mieux se faire connaître mais aussi reconnaître. Car l’époque n’est pas tendre pour une catégorie à la probité parfois malmenée et souvent la cible de polémiques quand il n’est pas cloué au pilori par l’écologie punitive. Il faut donc rééquilibrer le débat et montrer que l’on est tout aussi innovant, jeune et dynamique que n’importe qui d’autre.
Le poste budgétaire dédié à l’automobile est en passe de devenir un véritable crève-cœur. C’est du moins ce qui ressort d’une étude menée par l’enseigne financière Fortuneo qui s’est penchée sur l’évolution des prix à la consommation depuis dix ans. À partir de là, elle a sectorisé les dépenses faites par les ménages. Pour une révélation inquiétante : les dépenses liées à la maintenance automobile ont bondi de 42 %.
Il n’a échappé à personne que le tarif du litre du carburant à la pompe est reparti à la hausse. De quoi, a priori, satisfaire les professionnels du secteur qui voient leurs marges grandir et les sous rentrés. Une fausse idée. L'Union française des industries pétrolières (Ufip) a décidé de le rappeler avec force dans un communiqué qui s’inquiète de cette inflation. Enfin, plus exactement, qui dénonce l'augmentation de la fiscalité sur les carburants en France. Ce qui n’est pas exactement pareil.
La gendarmerie voulait le Hummer mais le juge n’était pas de cette humeur. Voilà qu’elle pourrait être l’épilogue de cette histoire relevant de la police de la route et qui a débuté début janvier du côté de Reims. Une année mal engagée pour un automobiliste qui s’était offert un Hummer type H2. Problème : il n’avait plus son permis de conduire.