Avec la fin de l’année calendaire vient le temps des bilans. L’exercice 2020, marqué par une incroyable pandémie aux conséquences terribles pour le marché automobile, est aussi celui qui marque le basculement dans l’ère de la mobilité électrique. Passons ensemble les mois qui viennent de s’écouler, pour le pire comme heureusement pour le meilleur.
Après l'effondrement du marché automobile en 2020, la dernière livraison de l’Observatoire Cetelem de l’automobile détaille la façon dont l'électrique peut dynamiser le marché dans les années à venir. Ainsi, près de la moitié des européens optera pour un modèle hybride ou électrique pour son prochain achat de voiture.
Avec la multiplication à venir des Zones à faibles émissions, la vie des possesseurs de voitures anciennes pourrait singulièrement se compliquer dans les années à venir. Jean-Louis Blanc, Président de la Fédération française des Véhicules d’Epoque, a décidé de monter au créneau.
Le coronavirus signe la revanche des tacots, de plus en plus prisés sur le marché de l’occasion. Ceux-ci sont jugés moins risqués que les transports en commun, mais ce phénomène illustre aussi les incertitudes liées au contexte économique.
30 millions de voitures électriques en circulation en Europe 2030, contre 1,4 million aujourd’hui : si l’objectif des autorités est louable, il bute encore sur la lenteur de déploiement des systèmes de recharge.
Paradoxe : c’est en ville que les voitures électriques sont les plus adaptées, et c’est en ville que leur usage est le moins aisé du fait des difficultés d’accès aux points de charge. La solution passe donc par l’installation massive de bornes dans les parkings des copropriétés, processus que nous vous détaillons ici en nous appuyant sur les mesures incitatives mises en place à Paris. La municipalité est en effet décidée à prendre les choses en main, et l’exemple devrait inspirer ses homologues. Voici comment.
Evoquant, chiffres à l'appui, un "effondrement" de l'activité des services automobiles, le CNPA fait aussi état d'énormes stocks dans les concessions.
On comptera onze zones à faibles émissions l’an prochain, et le dispositif est appelé à s’étendre à toutes les grandes agglomérations d’ici 2025.
Cette annonce concerne les voitures et les utilitaires. Quant à l’hybride, il serait banni dès 2035.
Selon une étude, 76% des actifs utilisent leur voiture pour se rendre sur leur lieu de travail, soit 4% de plus que l’an dernier. La crise sanitaire est passée par là.