Présenté il y a quelques jours seulement par le gouvernement d’Emmanuel Macron, le projet de réforme des retraites n’a pas tardé à susciter de vives réactions chez les syndicats. Les préavis de grèves se multiplient déjà, notamment dans les raffineries de pétrole.
Avec la grève de la SNCF qui s’annonce ce week-end, le covoiturage et la location de voitures entre particuliers s’avèrent être des choix pertinents et économiques pour ne pas rater le passage du Père Noël.
Après plusieurs jours de frénésie dans les stations-service de France, le calme est revenu en fin de semaine dernière. Un apaisement favorable au prix du carburant, qui selon les chiffres officiels, était en baisse, aussi bien pour le gazole que pour l’essence.
Si le gouvernement s’est voulu rassurant au sujet de la pénurie de carburant qui a touché de nombreuses régions de France, plusieurs analyses précises des chiffres mettent en lumière une sous-évaluation évidente du nombre de stations-service en difficultés.
Aux difficultés déjà rencontrées avec la pénurie de carburant qui touche une partie de la France, ce mardi 18 octobre ajoutera un appel à la grève générale dans de nombreux secteurs. Une journée noire est d’ores et déjà à craindre dans les transports.
Vitrine des constructeurs, le prochain Mondial de l’Auto de Paris ouvrira ses portes dans quelques jours. L’occasion de découvrir les nouvelles gammes électriques de nombreuses marques, et leurs tarifs de plus en plus premiums. Une inflation qui s’éloigne petit à petit de la réalité du marché automobile français, comme en témoigne une récente enquête réalisée par OpinionWay pour Aramisauto.
Après une accalmie de plusieurs semaines cet été, le prix des carburants repart à la hausse. Une augmentation importante constatée la semaine dernière avec un prix au litre moyen de 1,8035 € pour le gazole, de 1,6440 € pour le SP95, de 1,5914 € pour le SP95-E10 et de 1,6814 € pour le SP98.
Après le geste de la direction de Renault envers ses salariés, le groupe Stellantis va également verser à son personnel des primes exceptionnelles pouvant aller jusqu’à 1 400 €.
À l’occasion d’un « groupe paritaire de réflexion » entre les organisations syndicales et la direction de Renault, la question du pouvoir d’achat des salariés sera au cœur des discussions. Un point sur lequel le constructeur français semble prêt à faire un effort.
Une seconde raffinerie vient de se mettre en grève à quelques heures du réveillon de Noël. Il faut toutefois rappeler qu'il n'y a aucun risque de pénurie et que le fait de se ruer dans les stations-service pour faire un (ou des) plein(s) n'est pas utile.
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