D'après une étude du cabinet de conseil Accenture, la voiture électrique va créer un niveau système économique dont le potentiel est estimé à 200 milliards d'euros, rien que pour la France.
Bloomberg annonçait ce week-end que l'avenir de Lamborghini pourrait prendre deux formes : une vente par le groupe Volkswagen, ou une introduction en Bourse comme cela a été fait pour le rival Ferrari. Le groupe Volkswagen a démenti, hier, les deux rumeurs.
Volkswagen a trouvé une solution "temporaire" pour faire face aux éventuelles taxes d'import qui seront mises en place au Royaume-Uni en cas de Brexit sans accord. La marque a prévu le coup et entrepose en effet de grandes quantités de véhicules sur place pour avoir du stock disponible.
Le CNPA (conseil national des professionnels de l'automobile) a demandé au secrétaire d'Etat chargé des Transports de reporter la phase "WLTP" du malus au 1er janvier 2021, pour éviter une situation bien trop complexe avec deux malus en 2020. Malheureusement, l'amendement a été retoqué par le rapporteur du projet de loi des finances.
Quels sont les constructeurs qui souffriront le plus du malus mis en place le 1er janvier prochain en France ? Selon un cabinet d'étude, il s'agit de Porsche, Alfa Romeo, mais aussi Mazda, Jeep ou encore Fiat et Ford.
Selon Der Spiegel, BMW aurait interdit à ses concessionnaires de proposer le kit de mise à jour des moteurs diesels jugés trop polluants pour leur donner une "seconde vie" face aux restrictions de circulation. Du coup, ce sont les ateliers Mercedes qui en profitent.
Il était bien difficile de croire que la Ford Mustang puisse se faire déloger, à domicile, par une concurrente dans le segment des coupés sportifs. Mais c'est chose faite : la Dodge Challenger, malgré ses 12 années de carrière et sa plateforme vieillissante, continue de battre des records.
L'Organisation mondiale du commerce a autorisé les Etats-Unis à mettre en place des taxes douanières sur de nombreux produits européens. Pour le CAR (Center automotive research), la politique globale de Donald Trump pourrait causer 700 milliards d'euros de pertes en cinq ans pour l'industrie automobile. Et en particulier pour les Allemands.
Les bons chiffres de ventes tombés hier cachent une réalité finalement moins rose. On vend des voitures oui, mais surtout aux entreprises et aux concessions, mais de moins en moins aux particuliers. Ce sont pourtant les ventes les plus rentables.
La plus grosse usine automobile d'Angleterre pourrait perdre ses deux principaux éléments. Nissan aurait en effet en tête de déménager la production des Qashqai et Juke de Sunderland, si le Brexit venait à être voté sans accord avec l'Europe. L'Espagne récupérerait alors le Qashqai.