La loi du marché automobile, c’est comme celle la jungle : lorsqu’un énorme groupe décide de manger une toute petite société française dont la stratégie intéresse, il n’y a vraiment aucune pitié.
Alors que tout le périphérique parisien doit abaisser sa vitesse maximale à 50 km/h dès ce mardi, les contraventions vont-elles pleuvoir dès demain pour les automobilistes surpris ? Normalement, non.
L'INFO DU JOUR - Alors que les Etats-Unis viennent d’augmenter significativement les taxes sur les voitures électriques chinoises importées, Donald Trump veut obliger les marques allemandes à fabriquer leurs autos sur place avec des droits de douane durcis pour eux aussi.
Opposé à Nissan dans un procès au sujet de la propriété de son gigantesque yacht, Carlos Ghosn a perdu devant la juridiction qui l’ordonne de le rendre au constructeur japonais tout en le dédommageant de 32 millions de dollars. Mais l’ancien patron du groupe Renault va faire appel.
Après avoir loué les qualités militaires du Tesla Cybertruck enrôlé par ses soins dans la guerre en Ukraine, le Tchétchène Ramzan Kadyrov laisse entendre qu’Elon Musk l’a aidé en lui fournissant des pick-up électriques pour le combat avant de finalement empêcher leur utilisation.
Après les avoir surtaxées, le gouvernement américain veut interdire la technologie contenue dans les voitures électriques chinoises de peur que ses données soient utilisées à des fins d’espionnage par l’Empire du Milieu.
Le nouveau Ministre des transports estime que la maire de Paris Anne Hidalgo ne peut pas « prendre seule une telle décision » alors qu’elle entend limiter la vitesse maximale à 50 km/h sur le périphérique de la région à partir du 1er octobre 2024.
L’Eurométropole de Strasbourg assouplit son calendrier concernant le déploiement de sa ZFE. Les véhicules Crit’Air 3 pourront y circuler jusqu’en décembre 2026.
Alors que l’administration américaine vient de préciser l’étendue de sa taxation spécifique aux voitures électriques chinoises importées, ses mesures ont déjà de gros effets sur certains constructeurs qui misaient beaucoup sur ce marché.
L'INFO DU JOUR. D'un côté le lobby des constructeurs européens, et de l'autre le DG du groupe Stellantis: les premiers veulent un report des normes de CO2 prévues pour 2025, quand le second refuse au motif que si lui est prêt, les autres le seraient aussi s'ils avaient mieux travaillé.