
Voilà une démarche qui remettrait en cause l'adage voulant que bon sang ne saurait mentir. Et une idée qui pourrait bien donner des chevaux blancs aux accros de la conduite addictive. Pour dépister l'alcoolique chronique qui aimerait bien récupérer son permis après avoir été confondu lors d'un contrôle, l'Académie national de Pharmacie a trouvé plus efficace que l'analyse d'une prise de sang que l'on peut rendre spécieuse. Soit le test capillaire.