
Dans ce Grand Prix d'Espagne que la pluie n'a jamais lâché, il fallait se mouiller et savoir nager en eaux troubles pour s'en sortir les cuisses propres. Un art aléatoire qu'il n'est pas aisé de maitriser, sauf pour un champion du monde en titre qui a fait étal de tout son savoir faire pour répondre, avec sa Yamaha, à l'assaut vécu au Qatar de la part des Honda.