
Les conditions dantesques du début de meeting, avec un site de Phillip Island inondé qui a dû repousser de deux heures l'entame des hostilités, puis les violentes chutes dues à la piste détrempée et aux vents forts qui l'ont balayée, ont sérieusement posé la question de l'opportunité de la date du Grand Prix d'Australie au calendrier du Moto GP.