Loris Baz revient du Mugello sans le moindre point dans sa besace après un meeting compliqué tant au niveau technique que physique. Heureusement, Barcelone l'attend dès le week-end prochain, ce qui l'empêchera de ruminer sa déception.
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Valentino Rossi est arrivé au Mugello une semaine après avoir été diagnostiqué avec un traumatisme thoracique et abdominal suite à une chute en motocross. Un état qui s'est rappelé à son mauvais souvenir dans les derniers tours de son Grand Prix d'Italie qu'il a terminé totalement épuisé.
Johann Zarco a été loin cette fois d'un possible podium et pas vraiment dans le coup pour un top 5. Néanmoins, il finit septième après s'être élancé onzième tandis qu'avec l'abandon de Cal Crutchlow, il prend le large au classement des pilotes indépendants.
Depuis 2009 et un certain Casey Stoner, la marque Ducati n'avait plus triomphé sur son circuit du Mugello. Depuis ce dimanche, c'est chose faite grâce à un Dovizioso étincelant qui a bravé une condition physique diminuée par une intoxication alimentaire pour s'imposer devant un public ravi.
Ce n'est que 19ème et sur les terres de sa Ducati que Loris Baz s'élancera pour le Grand Prix d'Italie. La faute, aussi, à des soucis techniques qui l'ont coupé dans son élan. Loris Baz : « nous avons poursuivi notre travail et trouvé quelques solutions à nos problèmes durant la matinée.
C'est un Johann Zarco brillant qui s'est sorti des repêchages pour se retrouver dans une finale où, tout à coup, il s‘est éteint. Le Français explique pourquoi avec l'honnêteté et l'humilité qui le caractérisent. Onzième sur la grille de départ, il est en lice pour un bon Grand Prix d'Italie.
Valentino Rossi est arrivé au Mugello diminué par une blessure à l'entraînement qui l'a handicapé le vendredi. Mais le samedi est jour de qualifications. Lorsque le moment compte, le Doctor répond toujours présent. Et malgré une chute, il n'a pas failli. En tête lors de la FP3, il se classe second sur la grille de départ.
Après le Tourist Trophy ou encore le Supersport, voilà que Triumph entre dans le monde des Grands Prix par la porte d'un fournisseur officiel de la catégorie Moto2. Une discipline qui roule depuis le début de son apparition avec un Honda CBR. Mais cette machine a disparu de la production tandis que Triumph sort sa 765.
Ce samedi en Italie aura été une belle journée pour les tifosis qui ont leur idole Rossi leur promettre qu'un succès demain, en Grand Prix, est possible. Il faudra néanmoins pour cela terrasser un Viñales toujours redoutables mais aussi avoir un œil sur des Ducati véloces dans la longue ligne droite.
L'Italie ce vendredi de préparait à une fête Ducati sur le Mugello. Mais il y a eu Crutchlow qui a fait tout tomber à l'eau. Le pilote Honda LCR vire en tête de ce sixième rendez-vous de la saison MotoGP. C'est bien le moins après avoir refusé à Honda un guidon pour les 08h00 de Suzuka… Cal Crutchlow : « certes nos ateliers sont plus proches de Misano.