Les essais du Mans ont été le théâtre d'un nouvel incident entre Stoner et Elias. Le troisième en trois Grand Prix consécutifs, auquel il faut ajouter les polémiques et autres accrochages où l'Espagnol a été impliqué en Turquie et en Chine avec Rossi, Barros et Hayden.
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Au regard des résultats de ce début de saison de Moto GP, on aurait pu s'en douter. Voilà que maintenant, on en est certain, puisque c'est Valentino qui le dit lui-même : « Ce n'est pas une bonne règle pour notre sport.
Si le team du King Kenny a gagné sa course dans sa quête du budget nécessaire pour survivre dans une saison de Moto GP, voilà qu'il se trouve bel et bien dans une impasse technique avec son unique châssis maison motorisé par Honda. Une impasse qui a de nouveau été sanctionnée, au Mans, par une prestation calamiteuse.
Le Blues For Findlay c'est surtout toute la communauté motarde qui l'a ce blues depuis samedi soir alors que l'on apprenait le décès à son domicile de Vaucresson (Hauts-de-Seine), à l'âge de 71 ans de Jack Findlay.
Le blason de Mattighofen ambitionnait jouer le titre cette année après une probante saison 2006. Force est de constater que les choses sont allées dans le mauvais sens cet hiver pour les oranges loin d'être sanguines depuis le début du championnat.
Il était prévu pour être mis au repos et, effectivement, il est resté tranquille le matin, lorsque la piste était de nouveau mouillée. Les essais d'après Grand Prix, ce lundi, ne devaient plus intéressés un Nicky Hayden qui avait lourdement chuté la veille, peu avant l'arrivée, et alors qu'il évoluait à une belle quatrième place.
Si Jean Philippe Weber s'exprime ainsi au nom de Michelin au lendemain d'un Grand Prix national qui a tourné à la douche froide, au sens propre comme au figuré, ce n'est pas parce qu'il a pris un coup au moral. Non, c'est plutôt ainsi qu'il qualifie la nature des gommes livrées à ses clients.
C'est exactement au troisième tour avant l'arrivée que le Champion du Monde a fait les frais du temps désastreux qui régnait sur la France hier. Comme vous le disait mon compère André, c'est sur un freinage que l'américain a perdu le contrôle de sa machine.
Ce n'était pas le 14 juillet, mais pourtant on a eu droit à un feu d'artifice aux airs de fête nationale pendant le déroulement de la première partie de ce mémorable Grand Prix de France. Randy De Puniet et Sylvain Guintoli ont battu la mesure et étonné leur monde en donnant une prestation qui a bluffé les observateurs.
De l'ombre à la lumière, il n'y a qu'un jet de pierre comme dit la chanson, et ce n'est pas à Randy qu'il faut la chanter. Lui, il connaît la musique, et dans ce monde de compétition exacerbée, il prend d'abord les devants de ce qui l'attend chez Kawa, avant d'analyser sa course : "Je suis si déçu et je m'excuse auprès de mon équipe, de Kawasaki et de Bridgestone qui avaient fourni un travail extraordinaire.