En l’occurrence, il s’agît plutôt de faits d’été, mais nonobstant ce douteux raccourci, la situation est que les derniers drames estivaux ont eu un impact collatéral sur la politique de communication que Peugeot avait mise en œuvre pour sa 207.
De quoi s’agît-il ? Suite aux décès de deux enfants laissés seuls dans des voitures en plein soleil, la marque de Sochaux a jugé peu opportun de continuer une campagne de publicité montrant un père de famille tellement hypnotisé par la conduite de sa petite berline qu’il en oublie la présence de ses enfants assis à l’arrière de celle-ci, enfants qu’il devait déposer à l’école.
Certes, jamais dans la saynète, ledit papa ne quitte un seul instant l’habitacle. Le message est même que la 207 est à ce point attachante, qu’on ne la quitte jamais. Mais Peugeot a jugé les raccourcis dangereux possibles et a donc décidé de mettre un terme aux séquences. Principe de précaution bien placé où dictature du politiquement correct, le débat est ouvert.
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