Le nouveau Sorento est proposé en deux niveaux de finition. L’entrée de gamme « Premium » (à partir de 43 900 €) embarque de série l’alerte de franchissement de ligne, l’allumage automatique des phares, les feux à LED, le régulateur/limiteur de vitesse, la reconnaissance des panneaux, les jantes alliage 18’’, les 7 places, la sellerie cuir, les sièges chauffants, la climatisation automatique, l’ouverture du coffre mains libres, le frein de parking électrique, etc. Ajoutez à cela la garantie 7 ans ou 150 000 km.
Le haut de gamme « Ultimate » à partir de 49 900 € ajoute le correcteur d’assiette, le détecteur d’angles morts, le régulateur de vitesse adaptatif, les sièges avant ventilés, la caméra 360 °, l’aide au stationnement actif et la navigation Europe.
Au rapport de l’équipement proposé, le Sorento reste attractif. Il vous faudra compter en moyenne 46 000 € (2.2 CRDI 200 ch BVA6 Premium) pour vous offrir le cœur de gamme. Toutefois, il ne faut pas oublier que la version testée ici (2.2 CRDi 200 ch Ultimate) est assujettie à un malus de 3 000 €. Au final, face à une concurrence qui n’est pas frontale, comme expliqué avant (à cheval entre deux catégories), le Sorento est soit trop cher pour du généraliste soit pas assez compétitif, dynamiquement parlant, face à du premium. Ce positionnement bâtard ne peut que le desservir sur le marché européen.
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