Cette décision ne devrait cependant pas – dans l’immédiat – avoir d’impact sur le nom de l’écurie, ni sur ses couleurs.
Racheté par le groupe malaisien DRB-Hicom, le Group Lotus, anciennement détenu par Proton, vit des heures incertaines quant à son avenir. Cette annonce met à mal une stratégie extrêmement ambitieuse qui avait abouti à la multiplication de la présence de Lotus en sport auto (GP2, endurance, Indy, rallye…) certainement très coûteuse au moment où la marque doit aussi complètement renouveler sa gamme.
Gerard Lopez, patron de Genii Capital qui détient le Lotus F1 Team, se montre cependant rassurant quant à l’avenir de son équipe. Laquelle a en effet récemment signé des accords de sponsoring avec Unilever et Microsoft. Il lui reste maintenant à trouver un nouveau sponsor titre pour améliorer sa situation financière. D’autant que Genii n’écarte toujours pas la possibilité de racheter, le cas échéant, Group Lotus !
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