Parlons du premier cas qui concerne le maire de Courcelles Epayelles, cité de la Picardie. Ce dernier, après avoir lavé sa voiture, a décidé de jouir des bienfaits d’Éole pour la faire sécher. Et comme chacun sait, plus on va vite, moins on met du temps pour éradiquer les dernières gouttelettes. Une stratégie appliquée avec abnégation par Monsieur le Maire qui a poussé son automobile à une vitesse de 154 km/h sur un axe limité à 90 km/h. Hélas, pour le maniaque de la carrosserie, les gendarmes veillaient et l'ont attrapé dans leur filet. L'élu a reconnu la vitesse de 146 km/h retenue en regrettant son erreur. Une faute avouée à moitié pardonnée qu'il faudra régler. Logique ? Sans aucun doute, mais ailleurs, ça peut se passer plus mal...
Dans le second cas, l'ambiance s'est autrement plus alourdie. Là aussi, les gendarmes se sont retrouvés au mauvais endroit au mauvais moment pour le contrevenant. Une contrevenante en l'occurrence, ci-devant vice présidente du conseil régional de Poitou-Charentes. Lors du contrôle, cette conductrice n'a pas été en mesure de présenter son permis de conduire. Et pour cause, après vérification, il s'est avéré que le précieux sésame n'avait plus cours depuis le début de l'année du fait d'un solde de points nul. Fin de l'histoire ? Que nenni. En cette période électorale, il ne faut rien laisser passer et l'élue a décidé de déposer plainte contre les gendarmes... Du moins c'est que veut la rumeur publique relayée par le quotidien la Charente Libre. A suivre ?
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