La France et le Québec viennent d'officialiser la création d'échanges et de groupes de travail sur les transports électriques. Composés de politiques, d'entreprises de la distribution d'électricité comme EDF et du groupe Hydro-Québec, ce partenariat à grande échelle devrait permettre à la France et au Québec d'étendre leurs connaissances et leurs avancées dans le domaine de l'électrique pour développer de nouvelles choses dans la haute technologie et les infrastructures (bornes de recharge ?).


Le gouvernement français s'est évidemment réjouit de cet accord, avec un ministre de l'Economie particulièrement satisfait : « s'implanter au Québec, c'est s'implanter en Amérique ». Si l'on ajoute à cela un hypothétique traité de libre échange entre les Etats-Unis et l'Europe, cela pourrait être une belle porte d'entrée pour les acteurs du véhicule électrique en Amérique du Nord. Mais comme pour toute avancé politique et économique, cela prendra certainement beaucoup (beaucoup) de temps.