Voilà, chez General Motors on doit respirer. L'organisme de sécurité américain (la NHTSA) a donné les conclusions de son enquête ouverte après les cas d'incendies tardifs relevé sur les Volt ayant subi un crash test. L'agence de sécurité conclut qu'il est impossible de détecter un défaut majeur sur la Volt et que les modifications apportées récemment par les ingénieurs de General Motors réduisaient encore plus le risque de voir les batteries provoquer un incendie. Par conséquent, la Volt et ses homologues électriques à batteries sont considérés comme « ne posant pas plus de risques d'incendie que les véhicules thermiques ».


La carrière des Chevrolet Volt et Opel Ampera peut enfin débuter sereinement