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Mais qui en veut aux banquettes de Citroën C3?

Après les pots catalytiques de Toyota Prius et les caméras de recul de Renault, les voleurs jettent actuellement leur dévolu sur les banquettes arrières de Citroën C3. Un équipement particulièrement coûteux à remplacer et difficilement disponible dans le réseau constructeur.

Mais qui en veut aux banquettes de Citroën C3?

.Il y a quelques mois, Caradisiac s’était fait l’écho de l’appétence des voyous pour les caméras de recul de Renault, équipement que l’on trouve ensuite en nombre élevé sur certain site bien connu de petites annonces. Soucieux de diversifier leurs activités, les voleurs jettent maintenant leur dévolu sur les banquettes arrière et systèmes enrouleurs de ceinture de Citroën C3 de troisième génération. Ce sont nos confrères de Que choisir qui se font l’écho de ce nouveau phénomène, sans toutefois que les autorités ou les assureurs soient pour le moment en mesure de l’expliquer ou le quantifier.

La raison pourrait être à chercher du côté de l’arrivée massive de modèles de société biplace sur le marché de l’occasion, lesquels sont donc dépourvus de banquette. La nécessité de les remettre en configuration 5 places en vue de leur revente, conjuguée aux difficultés d’approvisionnement des pièces en question dans le réseau Citroën, expliquerait cette nouvelle demande.

Mais qui en veut aux banquettes de Citroën C3?

Et le mensuel de citer le cas de cet habitant de Seine Saint-Denis qui, le jour où il se rend au commissariat déposer une plainte, se voit répondre que le nombre de cas comme le sien sont nombreux. Il suffit d’ailleurs de taper 'banquette C3' sur Facebook pour voir les témoignages se multiplier (exemple avec la photo ci-dessus). Fin février, les gendarmes de la section de recherche de Versailles (78), mettaient fin aux activités d’un jeune de 20 ans qui avait à son « tableau de chasse » quelques 14 banquettes arrière de C3 (auxquelles s’ajoutaient 5 banquettes de Peugeot 208 et 308).

C’est d’autant plus pénible qu’une fois votre voiture délestée de sa banquette, les délais de disponibilité de plusieurs mois et les tarifs pratiqués par les professionnels - jusqu’à 6000 € pour une banquette et son système de sécurité, voire davantage - sont totalement dissuasifs. Dans ces conditions, le particulier lésé peut être tenté de se tourner à son tour vers le marché noir, qu’il contribuera ainsi à alimenter. On trouve en effet sur Internet des banquettes de provenance incertaine à 5-600 €, soit près de dix fois moins cher que ce que réclamera Citroën (pose comprise) et, surtout, immédiatement disponibles. Parlez d’un cercle vicieux…

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