D’après l’OCDE (Organisation de coopération et de Développement Economique), la pollution atmosphérique va encore empirer d’ici 2030, surtout à cause du problème des microparticules en suspension qui peine à être réglé. Ce sont surtout les pays en voie de développement qui enveniment la situation : les efforts de l’hémisphère nord vont être revus à la baisse à cause de la pollution des Etats plus modestes. Malgré cela, l’OCDE reste optimiste : certains pays ont montré qu’ils pouvaient se développer en luttant contre la plupart des polluants. Mais les particules restent pour l’instant en nombre constant.

Pour régler le problème, l’OCDE préconise une attention particulière de la part des Etats développés pour davantage prendre en compte la pollution « transfrontière » qui traverse leur territoire, voire même des continents entiers.

La pollution causée par les navires, le réchauffement climatique et la pollution de l’air est une affaire commune, qui ne peut se résoudre par fragmentation des autorités ou des territoires.

Source : journaldelenvionnement.net