En coupé c'est bien, mais en Spider, c'est encore mieux ! Le plaisir du son du dix cylindres dans l'habitacle de la Lamborghini Gallardo est infini, et la marque italienne a bien fait de décliner sa supercar en cabriolet tant les vocalises du moteur sont présentes. C'est d'ailleurs un bon remède à nos chers moteurs « downsizés » qui arborent tous, aujourd'hui, des suralimentations. Même les plus grandes marques s'y mettent, laissant de côté l'atmosphérique au nom de la réduction des consommations.
Notre modèle du jour est la version LP570-4 Spider. C'est donc la dernière évolution du V10 5.2 en date avec ses 570 ch. Vous le savez, le bloc de la Gallardo aura connu quelques évolutions en partant de 500 ch puis en passant à 560 et 570 ch. Comme l'indique le « 4 », c'est bien une transmission intégrale sur cette Gallardo, une caractéristique classique des Lamborghini de l'ère Audi, si l'on met de côté la seule propulsion produite par Lamborghini depuis le rachat par la marque aux anneaux, à savoir la Gallardo Valentino Balboni.
Heureusement pour nous, Lamborghini n'a pas cédé à la suralimentation et a reconduit son V10 sur l'Huracan. Vivement Genève...
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