Il est vingt-deux heures et, après une journée à nouveau « épongée » de caisses, voici revenir le temps de la réflexion.
Les scenarii possibles sont assez simples à sérier. Balayons-en au moins quelques-uns. Le statu quo ? Il ne durera qu’un temps et le replâtrage à coup de Chrysler rebadgées également car, pendant ce temps-là, il y a des frais généraux liés à l’existence d’un nom à payer… La relance, par Fiat ? On l’espère mais nous ne la voyons guère venir. Sans doute dans ce cas de figure la relance impliquerait-elle le repositionnement de Lancia, à tout point de vue. Et une lueur d’espoir de pointer. On sait les grands chantiers lancés par le groupe italien pour développer Maserati et placer durablement sur orbite Alfa Romeo. Peut-être ces chantiers une fois bien avancés, le temps de s’occuper sérieusement de Lancia sera-t-il venu. Peut-être ou sans doute. Sinon, eh bien cela soit la disparition pure et simple soit la reprise par un autre groupe, en recherche de légitimité historique, de statut ou de toute autre qualité dont peut s’enorgueillir la marque Lancia.
Ne terminons pas ce très sérieux Minuit chicanes sans prendre la tangente : eh ! Genii pourquoi n’accoleriez-vous le nom de Lancia à celui de Lotus sur vos Formule 1 pour la saison 2013. Vous y trouverez bien un brin d’espace.
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