Il est vingt-deux heures, l’heure de nous poser est arrivée.
Des facteurs multiples expliquent cette évolution. Tout d’abord celui de capitalisation. Il est en effet plus facile de lancer un nouveau modèle en capitalisant sur un nom qui a déjà rencontré le succès. Le modèle du genre est sans doute apporté par la marque Volkswagen et sa Golf. Depuis que le nom Golf se perpétue modèle après modèle, la plupart des constructeurs généralistes établis ont emboîté le pas à Volkswagen et à sa Golf même si, parfois, le passage d’une génération à une autre implique une rupture de style (songeons par exemple, à l’exemple des différentes générations de Clio chez Renault). Chez les constructeurs français, Peugeot, qui faisait encore de la résistance il y a peu, a récemment révisé sa stratégie de dénomination pour adopter le modèle dominant. Et il faut maintenant chercher du côté des spécialistes que sont Rolls-Royce, Ferrari, McLaren pour trouver des constructeurs qui se creusent encore les méninges pour trouver à chaque nouveau modèle un nouveau nom. Peut-être parce qu’eux peuvent capitaliser sur leur seul nom et s’autoriser ainsi des changements de prénoms.
Mais, selon vous, le fait de changer de nom fait-il ou non partie intégrante du renouvellement d’un modèle ?
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