La série des Aston Martin DB doit beaucoup à Sean Connery et à sa magnifique DB5 qui faisaient à l'écran un couple d’une rare élégance et parfaitement assortis. Sa remplaçante, la DB6, offrait comme gros avantage d’avoir un espace a bord particulièrement intéressant avec 4 vraies places, tout en conservant cette classe et ces lignes si caractéristiques.
Construite sur un châssis plus long, elle offrait un comportement routier globalement plus efficace, ou du moins plus « facile », avec une stabilité dans le rapide accrue en raison notamment d’une répartition des masses plus favorable. Malgré sa surcharge pondérale de 50 kilos par rapport a sa devancière, son 6 cylindres en ligne de 3995cc de 282 chevaux faisait des merveilles en lui permettant d’atteindre 236 km/h en pointe et de passer la barre des 100 km/h en 6.1 secondes, faisant de ce coupé un sacré épouvantail dans sa catégorie (nous étions alors en 1965).
Au chapitre des bémols, il faut savoir que si son freinage était considéré comme une référence absolue, son frein à main était d’une efficacité proche de 0.
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