La conjoncture est allée jusqu'à faire sortir le secrétaire général du gouvernement japonais, Yoshihide Suga de sa réserve. Car le Japon est le premier investisseur direct en Thaïlande, un statut qui n'a fait que prendre de l'ampleur au fur et à mesure que les relations avec la Chine s'aggravaient. Par ailleurs, les constructeurs automobiles japonais sont en première ligne dans cette conjoncture difficile. Ceux-ci dépendent des composants fabriqués dans leurs usines en Thaïlande pour l’assemblage de leurs véhicules au Japon.
Clairement, les constructeurs japonais redoutent d'ores et déjà de manquer de composants fabriqués en Thaïlande et d’être forcés à ralentir ou arrêter leurs lignes d’assemblage japonaises.
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