Caradisiac : Existe-t-il des domaines dans lesquels la Peugeot d’Oreca peut encore être améliorée par rapport aux voitures officielles ?


Olivier Panis : Notre niveau de compétitivité face aux voitures d’usine ne m’inquiète pas particulièrement. Je crois que nous sommes dans le match.


Caradisiac : Lors des 8 Heures du Castellet, Oreca avait reçu le renfort de Stéphane Sarrazin, pilote officiel Peugeot. En quoi sa présence a-t-elle été bénéfique à l’équipe ?


Olivier Panis : Nous avons pu constater à quel point nous étions proches des Peugeot. Qu’il soit l’un des pilotes de référence de Peugeot Sport nous a également permis de stabiliser plus rapidement notre niveau de performance.


Caradisiac : Les relations semblent étroites entre Peugeot Sport et Oreca. Comment les vivez-vous au quotidien ?


Olivier Panis : Je suis très content des relations tissées. Il existe une véritable complicité entre Oreca et Peugeot Sport, qui joue le jeu à fond.


Caradisiac : Quelques mots de votre engagement en GT FFSA, au volant d’une Corvette de l’écurie DKR Engineering. On a un peu de mal à suivre la réglementation en ce début de saison. Quelle est votre position ?


Olivier Panis : Le championnat français est actuellement le championnat national le plus relevé. Il faut trouver de la stabilité sinon certains concurrents pourraient décider de se tourner vers d’autres championnats. Mais je sais que la FFSA et son président Nicolas Deschaux travaillent pour trouver des solutions.