
Souvenez-vous : en octobre 2007 à Hong Kong (Chine), le chef de l'exécutif Donald Tsang avait fait la promesse d'améliorer la qualité de l'air d'ici la fin de son mandat en 2012 et avait souligné qu'il comptait sur le soutien de Pékin. Il avait affirmé que la lutte contre la pollution atmosphérique chronique au-dessus de Hong Kong devenait primordiale : la ville pourrait perdre de sa compétitivité si la situation actuelle n'évoluait pas. Tsang avait mentionné diverses mesures afin de protéger l'environnement, comme la réduction des émissions de souffre présent dans le diesel utilisé dans les transports et les usines. Il avait indiqué : "Notre objectif est clair. La baisse de la pollution atmosphérique est une priorité nationale. C'est une question de vie ou de mort pour Hong Kong : elle attire encore de nombreux investissements étrangers mais à long terme, la pollution pourra nuire à notre compétitivité." (voir article).