Opel doit faire des économies pour se relancer. Après les plans de départs volontaires dans les usines, place au ménage dans le réseau de concessionnaires.
Dans la foulée d’une annonce du patron Elon Musk remettant le genre humain au centre d’une stratégie de production finalement excessivement tournée vers l’automatisation, le constructeur Tesla annonce stopper la production de sa Model 3. Un opus au parcours décidément chaotique, mais la marque insiste sur ce qui est plus une pause d’un arrêt. Une démarche dont l’objectif est d’améliorer la chaîne de production sur plusieurs postes stratégiques.
En Chine, les constructeurs étrangers doivent s'associer à un partenaire local et ne peuvent être majoritaires dans la coentreprise formée. Un plafonnement qui va bientôt être supprimé.
Renault et Nissan doivent continuer de se rapprocher. Certains évoquent une fusion, une option possible pour Carlos Ghosn.
De plus en plus de citadines font l'impasse sur la silhouette 3 portes. Ce sera le cas de la Peugeot 208 d'ici quelques semaines. Avis aux amateurs de cette version.
L'enquête du vendredi
Pour nombre d'entre nous, une forme de patriotisme économique suppose de rouler dans une voiture française. Seulement voilà, cette notion est bien plus complexe qu'il n'y paraît...et semble même assez secondaire aux yeux de certains constructeurs.
Les derniers jours ont été agités pour une marque Tesla qui a dû rappeler certains de ses modèles, faire face à des investigations après un accident mortel de la circulation tandis que des experts financiers annonçaient sa faillite prochaine. Le patron Elon Musk a répondu par la dérision sur le dernier sujet. Mais il faut tenir la position et faire feu de tout bois pour rassurer et être pérenne. Les derniers chiffres du marché américain de l’automobile tombent, sur ce plan, à point nommé.
PSA va pour commencer mettre fin à un accord entre Vauxhall, jumeau anglais d'Opel, et Renault sur la fabrication du Vivaro au Royaume-Uni.
Carlos Ghosn travaillerait à la fusion de Renault, Nissan et Mitsubishi, qui ne formeraient plus qu'une seule entité. Mais l'opération est des plus complexes, avec des exigences des gouvernements français et japonais.
C'est officiel : dans un an et demi, le constructeur chinois Lynk & Co assemblera ses modèles en Europe, dans l'usine belge de Volvo.
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