Le groupe Stellantis vient de signer ce lundi un accord avec Ayvens, une filiale de la Société Générale et leader de la location longue durée et de la gestion de flottes. Les termes de l’accord portent sur l’achat pour la flotte Europe d’Ayvens de 500 000 véhicules d’ici 2026.
Alors que les constructeurs allemands et américains s'inquiètent de l'évolution des ventes de voitures électriques et que certains font même machine arrière en la matière, Stellantis affirme faire des bénéfices sur la vente de ses autos à brancher et compte même sur ces dernières pour améliorer ses résultats dans les années à venir.
Alors que Stellantis réduit encore ses coûts de production en supprimant des postes, les employés bénéficient au moins de la réussite financière du groupe avec de très beaux bonus pour eux suite à l’exercice 2023.
Hiphi, une marque qui a étonné tout le monde par la singularité de ses voitures électriques à vocation haut de gamme, vient de stopper toute sa production pour une durée de six mois. Elle est en train de mourir.
Après être devenu actionnaire du constructeur chinois Leapmotor, le groupe Stellantis plancherait sur l'industrialisation de ses véhicules en Italie sur le site de Mirafiori. L'objectif serait d'en fabriquer 150 000 par an !
Les ventes de voitures électriques et de modèles hybrides rechargeables sont en baisse partout dans le monde au mois de janvier. La question est évidemment de savoir comment la croissance de ces véhicules va repartir.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Avec un chiffre d’affaires de 52 milliards d’euros et une marge de plus de 4 milliards, en hausse de près de 8 %, le Groupe Renault a totalement retourné la situation en quelques années.
Après la belle percée de MG, les marques automobiles européennes ont largement réagi au niveau des prix. Si bien que les voitures électriques chinoises ne semblent plus aussi menaçantes par leur rapport prix-prestations quand on les compare aux concurrents de chez Volkswagen, Renault ou même Stellantis.
Décidément, diriger Aston Martin semble être une activité extrêmement périlleuse. Les patrons du constructeur anglais n’y durent jamais longtemps.
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