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Livraisons et rentabilité record, et valorisation boursière affolante: tous les voyants sont au vert pour le constructeur italien.

Firme britannique devenue chinoise en 2005, MG a immatriculé plus de 13 000 voitures l’année dernière en France, et compte bien accélérer le mouvement grâce à sa berline MG 4 et le déploiement de 30 nouveaux points de vente.

L’année 2023 du marché français automobile démarre sur une augmentation des ventes de 8,8% par rapport à janvier 2022. La Dacia Sandero prend la tête chez les modèles et les voitures électriques reculent un peu à cause de la baisse du bonus écologique.

Les ventes de Peugeot ont diminué dans le monde en 2022. Le constructeur relativise cette baisse en expliquant que la marque s’exporte un peu mieux d’Europe, où la situation est la plus compliquée.

Avec près de 10,5 millions de véhicules vendus en 2022, Toyota conserve son statut de numéro un mondial. Une première place que le constructeur japonais occupe pour la troisième année consécutive.

En 2022, la France a consommé davantage de carburant qu’en 2021 mais moins de diesel. Les Français ont plus roulé mais aussi multiplié leurs vols en avion.

Elon Musk peut avoir le sourire. En 2022 Tesla a livré 1,31 million de véhicules électriques dans le monde. Un chiffre en progression de 40 % en un an, pour un chiffre d’affaires total de 24,3 milliards $ (environ 22,30 milliards €) et un bénéfice net de 3,7 milliards rien qu'au quatrième trimestre 2022.

Malgré un marché de l’automobile en baisse de plus de 7 % en 2022, le constructeur sud-coréen Hyundai a enregistré une année record. Avec 47 106 véhicules neufs immatriculés en France, Hyundai a vu ses ventes progresser de 4,1 %. Un chiffre historique qui ouvre maintenant de nouvelles perspectives pour 2023.

En une année, le prix des voitures d’occasion affiche une augmentation moyenne de 19 %. Malgré tout, le marché semble se stabiliser depuis le deuxième semestre 2022, avec une tendance à la baisse pour les occasions les plus récentes. C’est ce que révèle le dernier Observatoire du Groupe La Centrale, qui analyse en détail le marché de la seconde main.

Face à la pénurie de semi-conducteurs, les équipementiers réagissent et comptent bien fabriquer des puces en Europe. L’inflation du prix des voitures lié au manque de ces chips devrait donc cesser. Sauf que non, car ces petites pièces made in chez nous seront beaucoup plus chères que leurs sœurs asiatiques. De plus, elles seront moins performantes.