En ces temps incertains, faut-il réparer ou remplacer les radars fixes ? Détestés et vulnérables, ont-ils encore un avenir en dehors des villes ? La réponse est dans la question… Et aussi dans l'avènement du contrôle mobile.
46 % des conducteurs français avouent avoir utilisé leur smartphone en conduisant en 2018. Une augmentation de trois points par rapport à l'année précédente d'après le 3e baromètre Fondation MAIF et IFSTTAR sur les usages du téléphone au volant.
Pour réduire les coûts, Tesla a annoncé en interne via une lettre aux employés que la société n'avait "pas le choix" et qu'il fallait réduire la voilure. Le constructeur américain va supprimer 7 % de ses effectifs tout en augmentant la cadence de production des Model 3.
Vinci, qui avait fait polémique en fin d'année dernière en annonçant vouloir demander les frais de passage de péages à ceux qui sont passés gratuitement pendant le mouvement des gilets jaunes, annonce que ce même mouvement a eu des conséquences. Le trafic sur le réseau Vinci a en effet stagné en 2018, alors qu'il aurait dû progresser.
C'est une conséquence directe des nombreuses dégradations de radars en France : le centre national de traitement des amendes tourne au ralenti, avec une éventualité de chômage technique pour les salariés.
Le président Emmanuel Macron l'avait déjà bien expliqué lors de la mise en place des 80 km/h en juillet : les 90 km/h ne sont pas définitivement enterrés. Le ministre de l'Intérieur vient d'ailleurs de le rappeler, à juste titre.
Devant l'érosion des ventes et la chute du diesel (qui représente le très gros des ventes du groupe), Jaguar Land Rover annonce un grand plan de relance avec 4500 postes supprimés et des usines qui vont être progressivement réorientées.
Ce pourrait être la "solution" pour évacuer les personnes occupant les ronds-points en France dans le cadre du mouvement des gilets jaunes. Le responsable du mouvement à Marseille a évoqué la possibilité d'amendes lourdes de la part des forces de l'ordre pour les occupants. Une éventualité avancée par un lieutenant de gendarmerie.
Le coût lié aux dégradations des radars ces quatre dernières semaines pourrait être très élevé. C'est en tout cas ce que l'on retient des données fournies par le site radar-auto.com, qui recense les dégradations sur tout le territoire. Deux radars sur trois auraient été détruits ou vandalisés, avec des coûts pouvant aller jusqu'à 200 000 € par unité pour la remise en service.
Ford Blanquefort et son curieux candidat à la reprise
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L’affaire secoue le landerneau politique. En refusant l’offre de reprise de son usine de Blanquefort, le constructeur américain aurait fait acte de « trahison » selon Bruno Lemaire, quant au délégué CGT de l'usine, Philippe Poutou, il est sur la même ligne que le ministre du budget. Mais ce repreneur désavoué est-il réellement au-dessus de tous soupçons ?
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