La voiture reste le transport préféré des Français pour se rendre au travail. Près de 65% d’entre eux l’utilisent quotidiennement avec un temps de trajet moyen de 30 minutes. Plus inattendu, un français sur quatre est prêt à baisser son salaire pour se rapprocher de son lieu de travail.
Ford prévoit de supprimer 5 000 emplois en Allemagne pour augmenter sa profitabilité et compenser ses importantes pertes en 2018 sur le Vieux Continent.
Volkswagen a annoncé avoir revu à la hausse les investissements pour le développement des électriques, à hauteur de 19 milliards d'euros entre 2019 et 2023. Pour supporter ces investissements, le groupe allemand va supprimer 4000 à 7000 postes dans le même temps, principalement après des départs en retraite.
PSA souhaite améliorer l'économie circulaire et le traitement et la réfection de pièces usagées. Conséquence de cette nouvelle stratégie : l'usine d'Hérimoncourt, trop peu compétitive, va être fermée. Les 200 salariés seront reclassés dans les autres sites de la région.
En ces temps incertains, faut-il réparer ou remplacer les radars fixes ? Détestés et vulnérables, ont-ils encore un avenir en dehors des villes ? La réponse est dans la question… Et aussi dans l'avènement du contrôle mobile.
46 % des conducteurs français avouent avoir utilisé leur smartphone en conduisant en 2018. Une augmentation de trois points par rapport à l'année précédente d'après le 3e baromètre Fondation MAIF et IFSTTAR sur les usages du téléphone au volant.
Pour réduire les coûts, Tesla a annoncé en interne via une lettre aux employés que la société n'avait "pas le choix" et qu'il fallait réduire la voilure. Le constructeur américain va supprimer 7 % de ses effectifs tout en augmentant la cadence de production des Model 3.
Vinci, qui avait fait polémique en fin d'année dernière en annonçant vouloir demander les frais de passage de péages à ceux qui sont passés gratuitement pendant le mouvement des gilets jaunes, annonce que ce même mouvement a eu des conséquences. Le trafic sur le réseau Vinci a en effet stagné en 2018, alors qu'il aurait dû progresser.
C'est une conséquence directe des nombreuses dégradations de radars en France : le centre national de traitement des amendes tourne au ralenti, avec une éventualité de chômage technique pour les salariés.
Le président Emmanuel Macron l'avait déjà bien expliqué lors de la mise en place des 80 km/h en juillet : les 90 km/h ne sont pas définitivement enterrés. Le ministre de l'Intérieur vient d'ailleurs de le rappeler, à juste titre.
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