C'est une conséquence directe des nombreuses dégradations de radars en France : le centre national de traitement des amendes tourne au ralenti, avec une éventualité de chômage technique pour les salariés.
Le président Emmanuel Macron l'avait déjà bien expliqué lors de la mise en place des 80 km/h en juillet : les 90 km/h ne sont pas définitivement enterrés. Le ministre de l'Intérieur vient d'ailleurs de le rappeler, à juste titre.
Devant l'érosion des ventes et la chute du diesel (qui représente le très gros des ventes du groupe), Jaguar Land Rover annonce un grand plan de relance avec 4500 postes supprimés et des usines qui vont être progressivement réorientées.
Ce pourrait être la "solution" pour évacuer les personnes occupant les ronds-points en France dans le cadre du mouvement des gilets jaunes. Le responsable du mouvement à Marseille a évoqué la possibilité d'amendes lourdes de la part des forces de l'ordre pour les occupants. Une éventualité avancée par un lieutenant de gendarmerie.
Le coût lié aux dégradations des radars ces quatre dernières semaines pourrait être très élevé. C'est en tout cas ce que l'on retient des données fournies par le site radar-auto.com, qui recense les dégradations sur tout le territoire. Deux radars sur trois auraient été détruits ou vandalisés, avec des coûts pouvant aller jusqu'à 200 000 € par unité pour la remise en service.
Ford Blanquefort et son curieux candidat à la reprise
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L’affaire secoue le landerneau politique. En refusant l’offre de reprise de son usine de Blanquefort, le constructeur américain aurait fait acte de « trahison » selon Bruno Lemaire, quant au délégué CGT de l'usine, Philippe Poutou, il est sur la même ligne que le ministre du budget. Mais ce repreneur désavoué est-il réellement au-dessus de tous soupçons ?
Jaguar Land Rover devrait annoncer en début d'année prochaine la suppression de 5 000 emplois dans le cadre d'un important programme de réduction des coûts selon le Financial Times.
Ford vient de dire non au repreneur potentiel du site de Blanquefort (Gironde) et préfère proposer un plan social. Plus de 800 salariés sont concernés.
"Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde". La phrase de Camus s'applique parfaitement à la révolte des Gilets jaunes. Il faut cesser de qualifier "d'écologique" la taxation du gazole. Elle ne l'est pas, elle est même son contraire et elle insulte la véritable écologie.
Ce n'est pas encore la Saint Sylvestre. Mais malheureusement, des propriétaires ont déjà retrouvé leurs autos carbonisées ou retournées, suite aux violences perpétrées en marge de la manifestation des gilets jaunes ce week-end.
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