Ce ne sont pas Christophe Nadjowski (EELV) ou Chantal Perrichon, la pollution ou les encombrements, qui vont tuer l'auto et la moto, c'est le virtuel, l'addiction aux écrans.
Le projet de PSA de se séparer de 1 300 salariés en utilisant la rupture conventionnelle collective devrait obtenir l'approbation d'une majorité des syndicats, condition nécessaire à l'utilisation de ce nouveau dispositif de la réforme du Code du Travail.
Le groupe PSA compte proposer cette année la rupture conventionnelle collective à 1 300 salariés. Il a aussi annoncé qu'il recruterait 1 300 personnes en CDI.
C’est une mesure de la nouvelle loi travail qui a été mise en exergue, et pourtant, son principe date de dix ans déjà. C’est en effet depuis l’ère Sarkozy que l’on entend parler de rupture conventionnelle et 2,5 millions de personnes l'auraient déjà utilisée. Il s’agit d’une procédure qui permet à l'employeur et au salarié en CDI de se séparer "à l’amiable". À présent identifié comme rupture conventionnelle collective, le dispositif va notamment être mis en branle au sein du groupe automobile PSA. Ce qui n’a pas manqué de susciter des commentaires au sein d’une entreprise en bonne santé. Aujourd’hui, des députés de LREM écrivent à Carlos Tavarès, PDG du groupe automobile sur le sujet. Mais pas pour renier ce qu’ils ont voté…
Alors que beaucoup d’automobilistes sont mécontents de la libéralisation du prix du stationnement en France, la situation est encore plus radicale aux Pays Bas où certaines villes ont mis en place un contrôle automatisé du stationnement. Un dispositif redoutable, qui a de fortes chances de débarquer chez nous dans un futur pas si lointain.
L'application de la loi Grandguillaume va supprimer plusieurs milliers de VTC, principalement à Paris. Il sera donc moins facile d'en trouver un et les prix aux heures de pointe pourraient augmenter.
Pour réduire ses effectifs, PSA compte utiliser un nouveau dispositif inscrit dans les ordonnances Macron, la rupture conventionnelle collective. Une réunion est prévue avec les syndicats début janvier.
Volkswagen n’en finit plus avec les investigations internes et autres procès depuis la révélation du « dieselgate ». Cette fois point de moteur truqué par un logiciel magique rendant les mécaniques vertueuses au regard des normes antipollution. Ici, c’est le linge sale que l’on lave en famille, ou presque, puisque Le parquet de Brunswick (ouest) avait confirmé en mai dernier avoir lancé une enquête pour fraude présumée en lien avec la rémunération d'une activité au comité d'entreprise. C’est en effet la gestion de ce dernier qui est dans la tourmente, dans un pays où la dilapidation des fonds d'une entreprise étant considérée en Allemagne comme un délit.
Chaque année, TomTom Telematics nous livre une étude complète sur les villes les plus embouteillées au monde. Le classement français ne bouge pas avec Marseille en tête, la ville phocéenne pouvant faire perdre plus de six euros par jour aux professionnels, simplement à cause des ralentissements.
L'association 40 millions d'automobilistes est sur le pont pour tenter de manœuvrer avec certains parlementaires contre le gouvernement qui semble bel et bien parti pour imposer les 80 km/h sur le réseau routier français. Mais une enquête réalisée sur l'une des portions tests montre que les effets sont loin, très loin d'être positifs.
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