La fin d’année est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro. Chaque jour pendant cette période des fêtes, les journalistes de la rédaction de Caradisiac vous font part de leurs enthousiasmes et de leurs coups de griffes. Aujourd’hui, Stéphanie, journaliste, vous donne son top/flop 2023.
L’année 2023 a été marquée par une période d’émeutes cet été avec comme conséquence un taux de véhicule économiquement irréparable qui a explosé.
Suite au sondage réalisé par la Ligue de Défense des Conducteurs, les voitures radar privatisées arrivent en tête du mécontentement des automobilistes. Bien sûr, le prix du carburant et les ralentisseurs illégaux ne sont pas non plus épargnés.
Depuis trois mois, les chiffres de la Sécurité routière ne sont pas bons et le mois de novembre n’y échappe pas. Néanmoins, le bilan de l’année pourrait être favorable.
Le gouvernement prolonge son coup de pouce afin de promouvoir le covoiturage. L’aide de 100 € est alors maintenue en 2024, mais uniquement pour les courts trajets.
Un conflit oppose les salariés de Tesla en Suède à leur direction depuis le 27 octobre dernier et il produit un étonnant effet boule de neige. Non seulement les syndicats d’autres secteurs du pays s’en mêlent, mais 3f Transport, la plus importante organisation danoise, entre elle aussi dans la danse. Récit d’un conflit qui risque de durer.
« Paris libéré », c’était il y a longtemps. Aujourd’hui, la capitale est enfermée dans la glu de son trafic et l’embolie de ses transports, envahie par les touristes et désertée par sa population. Y a-t-il un truc qui cloche ?
Alors que les pouvoirs publics lancent une campagne de sensibilisation au risque des stupéfiants au volant, Caradisiac a participé à une opération de contrôle menée par les gendarmes.
« Hardcore », tel est le mot employé par Clément Beaune pour qualifier les plans de circulation à Paris les jours de compétition durant des Jeux Olympiques. Voilà qui promet !
La promesse phare du chef de l’État doit être mise en place à la fin de l’année. Si l’on sait déjà qu’elle s’adressera aux ménages français les plus modestes, on apprend que les notions de territorialité et de type de profession seront exclues.
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