Alors que Patrick Pelata a clairement posé sa démission dans la balance après que l'affaire d'espionnage dont Renault se disait victime a fait pschit, un des cadres licenciés s'exprime dans les médias et explique qu'une proposition de réintégration ne servira à rien. Et qu'au préalable, des excuses publiques seront nécessaires.
Il y a 2 ans, un officier du FBI écrasait dans un arbre au bord d'une route une Ferrari F50 saisie quelques années auparavant. Un accident alors sans grandes conséquences, sauf pour la fierté de l'officier. Mais c'était sans compter sur l'entêtement de la compagnie d'assurances qui a remboursé l'auto à son propriétaire et qui réclame désormais 750,000$ au FBI.
C'est quand on a l'impression que ça ne peut plus empirer que le feuilleton de l'espionnage industriel chez Renault prend un nouveau virage avec des rebondissements encore plus étonnants. Mais il convient déjà de voir au delà de cette affaire en se demandant quelles seront ses conséquences une fois qu'elle connaîtra enfin un point final.
Il y a les radars qui flashent à la mauvaise vitesse, suite à un mauvais paramétrage de l'appareil de contrôle par les agents des forces de l'ordre qui ont tapé 110 au lieu de 130 km/h, par exemple. Mais il y a aussi les radars qui flashent au mauvais endroit !
Renault portait plainte contre X le 13 janvier dernier pour des faits d’espionnage industriel. Le constructeur dénonçait des «agissements graves, portant préjudice à l’entreprise». Les trois salariés cadres clamaient toujours leur
La divulgation de secrets d’entreprise aurait permis à deux des trois accusés de Renault d’empocher une quantité d’argent importante provenant d’un grand acteur chinois de la distribution électrique.
A la suite d'une « alerte éthique », trois cadres de Renault ont été mis à pied, l'un d'eux appartenant au comité de direction, en attendant une enquête approfondie. Derrière cette expression obscure pourrait se cacher une histoire d'espionnage industriel.
La bataille qui oppose les propriétaires du circuit du Mas du Clos aux pouvoirs publics dure depuis des années et vient de connaître un nouvel épisode. Une décision du Conseil d'Etat a contraint le circuit à cesser toutes activités « asphalte », laissant ainsi planer sur un des plus beaux circuits français le spectre de la fermeture totale.
Après 8 mois de tergiversations judiciaires et le début d'une polémique sur le port du voile, le PV reçu à Nantes par une conductrice nantaise portant le niqab a finalement été annulé.
Lorsque dans une émission de télé italienne, on émet un avis négatif sur un produit de la maison Fiat, Fiat l'attaque en justice pour diffamation. C'est nouveau.
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