Indice - Rien à voir avec Coca Cola.
Ford est dans la tourmente après des révélations faites par le New York Times sur des maltraitances et du harcèlement exercés sur des femmes employées dans des usines. Des faits remontant certes aux années quatre-vingt-dix, mais plus de 70 % des employés actuels ou anciens salariés du constructeur américain dénoncent une culture particulièrement hostile à l'égard de la gent féminine. Le PDG Jim Hackett a dû sortir du bois pour se fendre d’une lettre ouverte, promettant la "tolérance 0" pour le harcèlement sexuel.
Volkswagen est-elle une entreprise sans état d’âme, sans le moindre scrupule, ou est-ce froidement la simple conséquence d’une procédure relative à un droit du travail qui n’envisageait pas d’autre issue ? Les protagonistes ont chacun leur réponse sur le sujet, mais le fait est qu’un cadre du groupe automobile allemand condamné aux États-Unis pour l’affaire du « dieselgate » a reçu sa lettre de licenciement directement dans sa prison de Milan (Michigan). Un signal fort pour les sept autres dirigeants et ingénieurs de VW qui ont été inculpés aux États-Unis pour ce scandale portant sur des moteurs sciemment truqués.
Indice - Un temps démoniaque.
Consumer Reports, magazine très connu aux Etats-Unis, dévoile le classement 2017 des voitures les plus "satisfaisantes". Un bilan étonnant qui se base sur six critères principaux, comme le confort, le prix d'achat ou encore l'expérience de conduite. Les premières sont surprenantes, tout comme la dernière.
Indice - Il n'y a pas de fumée sans feu.
Le patron de la branche sportive de Mercedes, AMG, a confié à nos confrères de Wheels qu'AMG était en contact depuis déjà un certain temps avec de grands acteurs du son et de la musique, pour trouver la tonalité parfaite des futures électriques. Le groupe Linkin Park fait partie de ces partenaires de Daimler.
Indice - L'homme est prêt à tout pour être le numéro 1.
Le Bitcoin, cette fameuse monnaie virtuelle qui fait tant parler d'elle depuis quelques mois pour avoir connu une fulgurante croissance, arrive dans les concessions. Un spécialiste japonais de la revente de véhicule propose en effet à ses clients de payer avec des bitcoins. Une situation qui pourrait se démocratiser.
Le mystérieux cas des inspecteurs non qualifiés pour homologuer les véhicules des constructeurs japonais pour leur marché domestique continue à alimenter la chronique. Il a déjà coûté des sous et notamment à Nissan qui a carrément stoppé un temps sa production locale. Subaru a aussi dû prendre des mesures correctives. Mais pour le blason à la constellation, on creuse un peu plus profond le problème en ouvrant une enquête interne…
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