
La Russie n’est pas en ce moment ce que l’on pourrait appeler un marché porteur. A un point tel d’ailleurs que les constructeurs la quittent. La retraite de Russie aux airs de Berezina est souvent évoquée pour figer une conjoncture qui ne suscite guère l’enthousiasme. Pourtant, Renault y croit toujours. La preuve ? Le losange envisage d’y produire son Captur à succès en version longue, rien que pour les Russes.