Cette semaine, le directeur général de Renault devrait confirmer la réorientation d'Alpine vers une gamme de voitures sportives électriques.
La nouvelle famille de moteurs de Mazda, avec le fameux six cylindres en ligne, entrerait en production dès le début d'année prochaine. Mais leur commercialisation en France est tout sauf certaine.
Smart va produire un SUV électrique en Chine, qui devrait être lancé en Europe dès 2022 selon un dirigeant de la marque, désormais entièrement tournée vers les véhicules à batteries.
Ferrari, qui expliquait récemment que l'électrique n'était pas encore cohérent avec l'ADN de la marque, pourrait proposer de nouveaux modèles 100 % électriques d'ici 2025.
Les équipes d'Alpine étudient la possibilité de lancer un modèle sur la nouvelle plate-forme électrique de l'Alliance, la CMF-EV.
En passant sous le giron Audi, Bentley va profiter des technologies et plateformes de la marque aux anneaux. Le constructeur anglais voit l'avenir positivement, avec la possibilité de produire sa voiture électrique en Angleterre.
Subaru va enfin avoir un produit dépourvu de toute fiscalité lourde en Europe. Le constructeur japonais a confirmé qu'il lancera un SUV électrique sur le Vieux Continent. Il profite de sa collaboration avec Toyota.
Passés de mode les breaks basés sur des citadines polyvalentes ? Pas pour Skoda qui compte prolonger cette variante sur la prochaine génération de la Fabia attendue l'année prochaine.
La marque à l'étoile Mercedes investira la bagatelle de 350 millions d'euros pour rendre la prochaine génération de l'utilitaire survoltée eSprinter plus facile à décliner. Cerise sur le gateau, la firme fait le nécessaire pour commercialiser son modèle outre-Atlantique.
D'ici 2025, Volkswagen aura toute une famille de voitures électriques à proposer aux clients. Et les autonomies grimperaient apparemment jusqu'à 700 km sur la berline ID 6.
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