Depuis qu'il s'est relevé de sa chute en course en Catalogne, Pol Espargaro est l'homme de la situation pour contrarier Marc Marquez. Malheureusement, le frère d'Aleix s'est pris les pieds dans le tapis à Assen, un contre-temps qui pèsera sans doute lourd à l'heure des comptes.
Dani Pedrosa aime le Sachsenring et celui-ci le lui rend bien. L'Espagnol, en ce premier jour du Grand Prix d'Allemagne a posé son empreinte sur le meeting et fait valoir ses ambitions de première victoire de la saison. Et il a faim le bougre, au point de pointer en tête à la fois sur la piste sèche du matin et le bitume mouillé de l'après-midi.
Aujourd'hui c'est vendredi et vendredi c'est ravioli… ou plutôt Supermoto avec la vidéo de la semaine. Et en cette semaine de juillet c'est du côté de nos voisins du Québec que nous nous téléportons pour un résumé en images qui bougent du Supermoto X Fest millésime 2011.
Le Supermotard fait son grand retour au circuit Carole tel un clin d'œil à la grande époque du Guidon d'Or, des Stéph' Chambon, des JMB, des Gilles Salvador et autres Laurent Pidoux. Nostalgie, nostalgie. . .
Le torchon brûle entre le team NGM Forward et Suter-BMW, au grand dam d'un Colin Edwards lassé de piloter une moto qui, selon ses dires « ressemble à un dragon en feu, fait du bruit, mais reste impossible à piloter.
Après qu'un Dani Pedrosa rayonnant ait clamé sur le site du Sachsenring à qui voulait l'entendre que le prolongement de son aventure avec le HRC allait bientôt être confirmé, force est de constater que les options 2013 pour Valentino Rossi se sont d'un coup d'un seul réduites comme peau de chagrin.
Alvaro Bautista aura-t-il été le grain de sable qui a fini par gripper la belle mécanique bien huilée Yamaha qui, avec Jorge Lorenzo, roulait avec détermination vers le titre mondial 2012 de Moto GP ?
Dans l'ensemble, cette saison 2012 de vitesse moto est assez enthousiasmante pour nos couleurs. A bien y regarder, c'est déjà un bon cru avec des victoires, des podiums, des espoirs de titres, notamment du côté du Superbike.
En attirant dans son box la quatrième banque de son pays, Jorge Martinez ne pouvait que nourrir une fierté alimentée par le sentiment du devoir accompli. Le tout agrémenté d'une idée pérenne sur laquelle il pouvait adosser tout son édifice.
Si le HRC se prépare à parler la langue de Cervantes en 2013 en compagnie de Dani Pedrosa et de Marc Marquez, chez Ducati, on prend de manière accélérée des cours d'Anglais. Les inconditionnels d'une Desmosedici qui est toujours orpheline de Casey Stoner semblent en effet convaincus qu'ils trouveront leur prochain messie sur les terres de la perfide Albion.
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