Ce matin, nous vous annoncions le nouveau décret lancé par le gouvernement français qui espère avoir l'approbation de la Commission européenne pour interdire les supports numériques de signalisation des contrôles. Mais voilà que l'association 40 millions d'automobilistes signale que les pouvoirs publics pensent également à utiliser des brouilleurs...
Dans le cadre de la "lutte contre le terrorisme", la France vient de soumettre un projet de décret à la Commission européenne qui interdira bientôt la signalisation des zones de contrôles routiers sur tous les dispositifs électroniques (y compris la Toile). Si le décret est validé, les applications type Waze et autres Coyote devront totalement changer.
À peine deux mois après avoir officiellement commencé à tester les nouveaux mobiles-mobiles dans l'Eure, le ministère de l'Intérieur lance le premier marché ayant pour objet la privatisation de leur conduite. Ça commence ainsi en Normandie, mais d'autres appels d'offres devraient bientôt suivre.
Les candidats à la présidentielle, c'est comme les ralentisseurs : chacun veut le sien mais tout le monde trouve qu'il y en a trop et à la fin personne n'y peut rien. Sauf que les ralentisseurs, ça pourrit la vie plus sûrement que la politique.
Amender les contrevenants en fonction de leur revenu pour un excès de vitesse, cela pourrait paraître logique pour beaucoup, mais c'est pourtant une pratique très peu répandue. Le Royaume-Uni vient cependant de rejoindre la Finlande et la Suisse avec l'instauration d'amendes indexées sur le salaire hebdomadaire.
Chez nos voisins suisses, une campagne souhaite sensibiliser les amateurs de petite reine qui prennent des libertés avec le code de la route. Mais elle ne fait pas dans le politiquement correct, osant même une fin que certains trouveront de mauvais goût.
Tous les modèles ne conviennent pas à toutes les utilisations et toutes les voitures. Renseignez-vous bien avant d'en sélectionner un et respectez les conseils élémentaires pour voyager en sécurité et légalité.
Grâce aux données gouvernementales sur l'accidentologie, l'assureur Groupama a mis au point un site Internet qui permet d'éviter les routes les plus dangereuses sans perdre trop de temps
Le Conseil national de la Sécurité routière (CNSR) a entamé un nouveau mandat de trois ans, en ce début 2017. Sans attendre les résultats de l'élection présidentielle et les futures ambitions du prochain chef d'État en matière de Sécurité routière, le "nouveau" CNSR s'est officiellement remis au travail ce vendredi matin. Le vieillissement, les usagers très vulnérables comme les piétons ou les cyclistes, les nouvelles technologies et la voiture autonome font apparemment partie de ses priorités et de ses pistes de réflexion pour faire baisser la mortalité.
Des nouveaux tests salivaires vont permettre de valider l'infraction en bord des routes. De quoi dégager du temps pour les forces de l'ordre, qui pourront ainsi réaliser plus de contrôles.
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