On en comptait 47 000 en 1975, elles ne sont guère plus de 11 000 aujourd'hui. Le nombre de stations-service a dégringolé en France et peu à peu, ces marqueurs du bord de nos routes ont été abandonnées. Mais la nature a horreur du vide et quelques-unes d’antres ont été reconverties, en boulangeries, maisons de particuliers et même en centres culturels.
Pour Renault, l’avenir est électrique. Ainsi, le constructeur a déjà annoncé revisiter un de ses mythes qu’est la R5 dans une version à batterie. Mais une autre icône de la marque devrait avoir droit à sa résurrection électrifiée, à savoir la 4L. Et c’est peu de dire qu’il s’agit d’un modèle emblématique, puisqu’elle reste l’auto la plus vendue par Renault, et la deuxième voiture française la plus produite derrière la Peugeot 206. Dans l’histoire de l’automobile mondiale, elle est ainsi aux côtés des mythes que sont la Coccinelle ou la Ford T.
Produit pendant plus de 20 ans à près d’1,2 million d’exemplaires, l’utilitaire chevronné occupe dans le cœur de ses utilisateurs une place à la mesure des charges qu’il pouvait embarquer.
Subaru est le roi mondial du véhicule qui s'aventure en dehors des sentiers battus. La marque annonce avoir dépassé le cap des 20 millions de voitures à quatre roues motrices produites depuis 1972.
En 2003, pour prouver au monde entier qu'il était capable d'assembler une grande berline comme les marques allemandes et américaines, Kia s'en est allé copier leur style respectif. Mais les acheteurs ne s'y sont pas trompés et ont délaissé le modèle. Mais ce coup d'essai manqué n'a pas empêché le Coréen de s'imposer, un peu plus tard, sur tous les segments et sur toute la planète.
Que ce soit du côté des constructeurs comme des équipementiers, le marché de la voiture de collection est particulièrement juteux.
S’ils ressemblent actuellement à des réfrigérateurs sur roues, les cars ont longtemps bénéficié d’un design très inspiré. De bien beaux engins pour faire la route… de nuit !
Conçu pour concurrencer le premier SUV coupé allemand, le ZDX de la filiale premium de Honda a essuyé un bide sur le marché américain pour lequel il était conçu. La faute à un dessin difficile et à une image à l'opposé de celle de son rival. Des défauts qui cachent pourtant une belle mécanique et un tarif intéressant.
L’automobile est en train d’effectuer la plus grande révolution de son histoire en s’électrifiant, au prix d’investissement colossaux. Et pourtant, les constructeurs ne protestent que pour la forme…
Même chez Ferrari, il existe des modèles maudits. Comme cette Mondial qui, de 1982 à 1993 a essuyé quelques joyeux quolibets. Ses lignes déséquilibrées liées à sa curieuse architecture, à ses finitions très moyennes et à son efficacité pas vraiment au-dessus du lot ont eu raison d'elle. Mais 50 ans après sa naissance chaotique, elle a un gros avantage : son prix, tant au niveau de l'achat que de l'entretien.
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