Amateurs de Tintin, rendez-vous à partir du 5 avril prochain au Musée National de l'Automobile - Collection Schlumpf pour une exposition consacrée aux voitures utilisées par le célèbre reporter au fil de ses aventures. En attendant, Caradisiac revient sur les exploits au volant du héros, qui "ne descend que rarement d’une voiture ou d’une moto qu’il pilote sans avoir eu, au préalable, un accident."
Sorte de coupé AMI8 doté d’un moteur Wankel, la Citroën M35 n’a été vendue qu’à des clients-testeurs triés sur volet. Ils devaient aider à la mise au point d’une nouvelle technologie tout en faisant de la pub à la marque, comme ceux du programme Ferrari XX, mais sur route ouverte…
Les Alfa dotées du mythique moteur double arbre deviennent hors de prix, sauf une : la Giulietta deuxième du nom, codée 116. Malgré sa ligne curieuse, elle est totalement tombée dans l’oubli alors qu’elle conserve les qualités (et défauts) typiques de la marque. Dès 6 000 €.
Pour les quarante de son premier concept-car, les designers de Peugeot se sont amusés à le réinterpréter façon restomod. Si le rendu reste virtuel, le plaisir des yeux est bien réel.
Du moins c’était l’objectif du célèbre magazine, dont le pilote a dû se contenter d’un petit 195,2 km/h de moyenne. Le reportage a bien été publié, mais sous pseudo car déjà à l’époque, les autorités étaient allergiques à la vitesse…
Minuscule et spacieuse, simple mais dotée de 4 roues motrices, la Panda 4x4 s’est créé son propre marché, s’attirant une clientèle fidèle et nombreuse, particulièrement en montagne. Ce coup de génie se raréfie, donc soyez malin, collectionnez-le avant tout le monde. Dès 6 000 €.
En plein règne des SUV électriques, rouler en berline à 6 cylindres constitue un acte de résistance, surtout quand elles ont des watts. C’est le cas des Mercedes C280 et Peugeot 406 V6, plus de 190 ch chacune, qui, de surcroît, ne coûtent pas bien cher : dès 3 500 €.
Inutile de chercher plus loin, cette somme consacrée à Ferrari est le meilleur cadeau "auto" à glisser sous le sapin cette année.
En 1969, Chevrolet a introduit une innovation étonnante pour éviter à ses clients de devoir recourir à des pneus hiver sur la neige : un drôle de système aspergeant les pneus arrière d’un liquide permettant d’améliorer leur adhérence sur la neige. L’option a tenu un an.
Parfois l’histoire de l’automobile rencontre l’Histoire avec un grand « H ». Comme ce fut le cas à Berlin il y a trente-cinq ans.
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