Première compacte dotée d’un 5-cylindres, la Bravo HGT joue plus la carte de l’agrément de conduite que de la sportivité pure grâce à son moteur musical et son équipement complet. Un plaisir de tous les instants, aujourd’hui disparu.
La compacte italienne souffre d'une double peine. À son physique difficile s'ajoute la marque qui l’a créée : Alfa Romeo. La maison milanaise ayant habitué ses disciples à de jolies autos, ils ne lui ont jamais pardonné cet écart. Pourtant, l'Arna avait un vrai moteur Alfa et elle était, fait rarissime à l'époque pour la marque, très fiable.
Gorgée de caractère, la 75 a su perpétuer avec brio l’esprit Alfa dans les années 80, malgré une technologie déjà surannée. Un concentré de plaisir à mettre de côté tant qu’il reste accessible…
L'auto des voisins - A Gradignan en Gironde, Marlène passe ses week-ends en cabriolet Mercedes pour 2700 €
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Pour son travail, elle passe la semaine en Peugeot 3008. Cela n'a pas empêché pas la jeune femme de s'offrir une autre auto pour les week-ends. Le choix de Marlène s'est porté sur un cabriolet allemand pour nombre de raisons, notamment la place à bord, le confort, le style et, surtout, un prix ultra-abordable.
En 1989, Peugeot relance avec sa 605 une attaque frontale contre les premiums allemands, BMW Série 5 en tête. Forte de 200 ch, la 605 SV 24 trouve en la 525i 24v une rivale de choix, et ne manque pas d’atouts contre elle. 30 ans plus tard, ces deux familiales youngtimer se dégottent à des prix similaires (entre 4 000 € et 6 000 €), alors laquelle choisir ?
Soyons honnêtes : cette voiture n’est pas laide, du moins dans sa version classique. La Laguna première du nom est même très réussie. Alors pourquoi l'avoir affublée d’une affreuse version break, avec un arrière collé sur la berline comme une greffe qui n’aurait pas pris ? Heureusement, elle offre une taille de coffre exemplaire et deux places supplémentaires.
Pour offrir un parfum très haut de gamme à sa Laguna de 3e génération, Renault en a tiré un coupé très fin mais pas totalement convaincant par sa ligne. Dommage, car le châssis est au top, et la qualité appréciable…
Pas tellement moins efficace que la S16 mais beaucoup plus abordable, la XSi permet de tirer le meilleur de la 306 sans se ruiner.
Dans les années quatre-vingt-dix, les berlines généralistes sont boudées. Les familles se tournent massivement vers les monospaces, quant aux accros des grandes voitures statutaires, dont le portefeuille le permet, ils n'ont d'yeux que pour les Allemandes. Alors, Ford tente la différence avec la seconde génération de la Scorpio. Mais le fait de se démarquer ne conduit pas forcément à la beauté.
Avec les années, la XJS a fini par réussir la mission impossible qui lui incombait : succéder à la mythique Type E. Pourtant, au départ, tous les vents étaient contre elle…
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