Hier, je vous parlais de la 911 R comme étant le hot rod par excellence. Cette philosophie du gros moteur dans une auto « relativement » légère a souvent été déclinée par nos voisins anglais. Récemment, Morgan s’est amouraché de moteurs bavarois pour certains modèles. L’une des plus belles, du moins l’une des plus impressionnantes itérations est évidemment l’Aeromax.
Nous terminons notre semaine par un constructeur qui est finalement bien rarement abordé dans nos colonnes, et, plus généralement, dans l'actualité automobile. Et pour cause : Hispano Suiza a cessé sa production automobile à l'aube de la Seconde Guerre Mondiale. Retour sur l'un des derniers modèles, la K6.
En 1981, Ferrari lance une suite à la BB 512 qui n'en est finalement pas une. La principale évolution est l'arrivée de l'injection afin de limiter la consommation et les rejets polluants. Le résultat est une puissance qui tombe de 20 ch pour atteindre 340 ch à un régime de 6000 tr/mn. Sculpturale, cette Berlinetta Boxer 512 reste toujours aussi désirable.
Voilà une nouvelle preuve du positionnement unique du préparateur Mansory. De la bonne personnalisation bien chargée à destination de milliardaires à la recherche d'excentricité.
La 5ème génération de Ford Mustang a fait basculer la légendaire Pony Car dans la modernité. À partir de 2004, le beau coupé américain pouvait enfin concurrencer ce qui se faisait ailleurs dans le monde. Bien sûr, il a fallu attendre encore quelques années pour qu'elle soit officiellement vendue dans les réseaux européens. Mais cette évolution technologique des autos sportives américaines est une tendance générale, comme le prouve la Corvette qui est désormais l'une des meilleures au monde dans son segment...
Voilà une auto qui est bien inhabituelle dans nos colonnes. En 2010, à l'occasion du centenaire de la marque, Alfa Romeo dévoile au concours d'élégance de la Villa d'Este une TZ3 carrossée par Zagato et taillée pour la route. Un an plus tard, neuf exemplaires, et pas un de plus, sont produits. Vous en avez un sous les yeux.
Que serait-il advenu du mythe Shelby si ce dernier n’avait pas arrêté la compétition à 37 ans pour cause de soucis de santé ? Les autos qu’il a créées dans les années 60 n’auraient peut-être pas vu le jour, et finalement il aurait manqué à l’automobile américaine une pièce maîtresse de son histoire. C’est probablement l’une des autos les plus « répliquées » de l’histoire, et pour cause, son ADN est terriblement excitant.
Voilà une auto que vous n'avez probablement jamais vue dans notre section photo du jour. Il s'agit d'un modèle peu connu mais pourtant présent durant sept ans au catalogue d'Alfa Romeo : la Montreal. Destinée à être présentée à l'occasion de l'exposition universelle de Montreal (d'où son nom), ce coupé abrite un V8 de petite cylindrée issu de la compétition.
Au milieu des années cinquante, Jaguar fait forte impression aux 24 Heures du Mans avec trois victoires consécutives en 1954, 1955 et 1956, grâce à cette auto : la Type D. Remplaçante de la Type C, cette bête de compétition avait tout pour elle, mais le passage du règlement aux cylindrées de moins de trois litres eut rapidement sa peau.
Alors que la NSX deuxième du nom arrive enfin, nous vous proposons de faire un petit retour en arrière avec cette première version immortalisée par Eddy lors du Mans Classic.
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