

C'est un fléau qui touche les automobilistes engoncés dans leur habitacle isolant du monde extérieur. Mais ça touche aussi les motards et scootéristes qui, malgré casque, gants et équilibre plus précaire sans parler de l'exposition aux aléas de la route sont aussi coupables de cette addiction.
Entre ses soucis avec un moteur diesel truqué qu’il faut mettre aux normes et des airbags Takata susceptible de tuer conducteur et passager dans un déclenchement intempestif, les mécaniciens des concessions de Volkswagen ont pas mal de travail en ce moment. Apparemment, ce n’est encore tout à fait assez. Le plan de charge vient de s’alourdir avec cette campagne de rappel touchant la nouvelle Passat dans toute l’Europe.
C’est un succès grandissant et elle fait florès non seulement dans les rues mais aussi sur les routes. Celle-là est la Renault Zoé bien branchée sur son époque et avec qui le courant passe sur le marché. Un intérêt qui ne semble pas connaître de frein, mais c’est pourtant à cause d’une canalisation apportant du liquide à ce dernier que la plus électrique des Renault va devoir se rendre à l’atelier.
La crédibilité des tests des niveaux d'émissions polluantes et des protocoles d’homologation a pris un sacré coup dans l’aile depuis que l’on sait que Volkswagen a pu déjouer tous les obstacles en proposant des moteurs diesels truqués. L’affaire est mondiale tandis qu’en Europe, entre indulgence supposée, aveuglement et mise sous influence par des lobbies, on a perdu tout repère. Les dernières décisions que d’aucuns ont déjà interprété comme un permis de polluer suscitent toutes les interrogations. Un brouhaha que le groupe PSA Peugeot Citroën aimerait faire taire en faisant entendre sa voix. Et montrer la voie.
La relève de la CBR1000RR, ça fait maintenant un baille que la rumeur en parle. Il est vrai que face aux dernières nées européennes et aux compatriotes japonaises récentes, le missile de Tokyo fait maintenant office d'obus d'une guerre passée. Mais l'idée de sa relève n'est pas un pétard mouillé.
La veine vintage fait florès et ce retour aux fondamentaux est à la fois une tendance et une nécessité. Une union frappée d'un sceau pragmatique face à une répression routière qui dissuade du moindre écart sous peine de tout perdre.
C'est avec les meilleures intentions et habité par une belle confiance acquise lors des tests d'intersaison que Loris Baz a abordé ce premier Grand Prix de l'année au Qatar. Hélas, après une entame honnête, tout est allé de Charybde en Scylla avec trop de chutes.
En proie aux difficultés techniques durant l'intersaison, dominé par un équipier Iannone qui lui a montré toute son agressivité en course, Andrea Dovizioso était comme au bord de la rupture chez Ducati. Avec un Stoner dans les parages et un Lorenzo dans les tuyaux, son sort semblait comme sur la sellette.
Marc Márquez est le premier à le reconnaître : il revient de loin au Qatar avec une Honda qui, il y a seulement quelques jours, ne semblait guère capable de jouer aux avant-postes. Mais le travail et le talent se sont conjugués pour faire des miracles.
Valentino Rossi a avait de quoi être partagé à l'arrivée du Grand Prix du Qatar. Satisfait d'être parmi le quatuor de tête qui a mené un train d'enfer, il était aussi désolé de n'avoir jamais pu porter la moindre attaque pour gagner ne serait-ce qu'une position.
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