Les conditions du dépistage des stupéfiants sur la route ont changé. C’est une conséquence de l’entrée en vigueur de la loi n°2016-41 dite « de modernisation de notre système de santé ». En attendant la mise en place, un jour, de tests électroniques, c’est une évolution qui va permettre aux forces de l’ordre d’être plus réactives pour constater cette conduite addictive qui pèse de plus en plus lourd dans la comptabilité macabre de la mortalité routière.
André Lecondé
Lui écrireDans l’automobile comme ailleurs, on peut tout prévoir sauf ce qui va se passer. Les plans et les concepts les plus élaborés peuvent s’écrouler comme un château de cartes sous le souffle d’un destin cruel. Tata Motors, qui fait partie de Tata Group, l'un des plus grands conglomérats indiens, le découvre à ses dépens. Il aura suffi, pour cela, d’un battement d’ailes d’un moustique.
Les contrôles routiers révèlent parfois bien des surprises. Après le jeune permis de conduire qui a dû remettre le soir aux gendarmes son attestation de réussite reçue le matin à cause d’une conduite sous l’emprise de produits stupéfiants, sans oublier la fille de 12 ans ramenant son père ivre au volant de sa voiture, voici le gamin de 15 ans filant à 160 km/h sur l’autoroute.
Il y a peu nous vous informions de l'ambition de MV Agusta de retravailler la base de ses Brutale. En fait, cette initiative ne sera que le préliminaire d'autres nouveautés qui, selon le patron Giovanni Castiglioni devait être au nombre de six. Trois roadsters et trois sportives.
Chez Suzuki, on attend avec impatience la prochaine Hayabusa et une machine de moyenne cylindrée dopée d'un turbo. Mais avant ça, il va falloir que les ateliers révisent leurs connaissances en matière d'électricité. On sait que la V-Strom 1 000 a maille à partir de ce côté-là.
La veille il avait dominé ses concurrents de la tête et des épaules au guidon d'une Yamaha qualifiée de facile. En ce second jour des tests du MotoGP à Sepang, Jorge Lorenzo n'a pas pu maintenir sa place en haut de la hiérarchie et il a même chuté. Pour autant, tout va bien.
Danilo Petrucci a dominé la seconde journée des tests du MotoGP à Sepang. Au guidon d'une Ducati qui semble se réjouir de la nouvelle donne technique, il a imprimé son tempo dès le matin, avant que la chute de Loris Baz ne pousse Michelin à retirer ses pneus tendres des équipes pour expertise.
Si le premier jour des tests du MotoGP en Malaisie avait été placé sous le signe d'un Lorenzo martelant déjà le chrono, la seconde journée a été l'occasion de voir des Ducati en verve. A ceci près que ce sont les privées pilotées par Petrucci, meilleur temps et Barberá, troisième, qui ont trusté le haut de la feuille des temps.
La seconde journée des tests du MotoGP à Sepang a été marquée par une lourde chute d'un Loris Baz qui s'est miraculeusement sorti indemne d'une cabriole à 290 km/h. La faute à un pneu arrière qui a éclaté. Michelin expertise la situation et, en attendant les conclusions, a sorti ses gommes tendres, qu'utilisait le Français, des options disponibles pour les pilotes.
Marc Márquez avait pris ses quartiers d'hiver sans avoir été convaincu par sa nouvelle Honda proposée pour la nouvelle donne technique. Il l'a retrouvée après une longue trêve du côté de la Malaisie. Une reprise qui ne l'a pas plus enthousiasmé.